POURQUOI MOI

Chapitre 09 : Commencement

Bonsoir, après une longue absence le chapitre est enfin là .

( TW : décapitation)

sur ce,

Bonne lecture,

Damiane:

la vengeance

Est le seul sentiment qui alimente mon corps enragée, la vengeance est le carburant dont tout mon être avait besoin en ce moment.

Les merdes n'arrêtaient pas de s'accumuler sur ma tête, et ma soif de sang ne demandait qu'à être assouvis. Se fils de pute m'avait mis entre ses yeux, il voulait me faire tomber à fin de se délecter de ma chute.

Mais le sort auquel je l'avais condamnée et bien plus cruel et barbare que ce que le monde pourrait imaginer. Car j'allais le marquer au fer rouge, je lui prendrais tout ce qu'il procède, je détruirai tout ce qu'il chérit avant de le regarder s'humilier devant tout le pays.

Et Cuba en sera témoin.

Le gémissement de douleur du Gas recroquevillé au sol me ramena brusquement à la réalité, ce qui ravitaillait encore plus cette haine qui me rongeait de l'intérieur. Mes nefs étaient à vifs, il mon fallait peu pour pressée sur la détente. Et ce connard avait clairement mal choisit son moment pour ouvrir sa grande gueule.

Ces yeux s'écarquillèrent de peur en voyant l'arme braquer sur lui, alors il s'empressa de dire.

_ NE FAITES PAS CA ! JE VOUS EN SUPPLIE ! NE ME TUEZ PAS ! J'AI FAIT CE QUE VOUS M'AVAIS DEMANDÉ ! JE VOUS AI TOUT RACONTÉ ! DON GONZALEZ, ÉPARGNEZ-MOI ! JE VOUS EN SUP-

Je fermais instantanément les yeux en sentant les éclaboussures de sang sur mon visage. J'avais mécaniquement tiré sur ce traître, mon corps avait réagi pour moi, car je ne supportais plus d'entendre ses mensonges. Le cadavre de cet enculé était à présent allongé au côté de son acolyte.

Il avait suffi d'une journée à mes hommes, pour débusquer les deux bâtards qui nous avaient balancé. Ces connards voulaient quitter le pays à la seconde où ils avaient appris la mort de Rodolfo.

Ils étaient deux taupes à travailler pour Rodolfo, ce connard était une vraie Vermine. Même si celui-ci était en bas de l'échelle, il avait quand même réussi à créer une faille parmi mes hommes. Et grâce à son venin, il s'était infiltré dans cette mission sans que personne s'aperçoive.

Jimmy m'avait dit que Rodolfo avait essayé officieusement de relier quelques gas à sa cause, mais ces derniers avaient refusé catégoriquement de le suivre. Mis à part les deux connards qui décoraient le sol de cette pièce. Ces fils de putes n'avaient pas hésité une seconde pour me la mettre bien profonde, ce qui leur avait coûté la vie.

Un de mes hommes me tendit une serviette à fin d'essuyer le sang des deux taupes que je venais de tuer. J'essuyais les taches de sang sur mon visage et mes avant-bras, en laissant mes yeux se délectaient des deux cadavres qui jonchaient le sol de la pièce.

Le silence régnait en maître sur nous pendant quelques secondes avant qu'un de mes hommes ne prenne la parole.

_Don, on fait quoi d'eux ?

Je pris une grande inspiration en pansant à la pire des manières de punir les deux cadavres déjà endommagée par la torture. Je ne leur donnerai pas la chance de pouvoir retourner sous terre, ce serait un privilège pour des ordures tel qu'eux.