Partie 7

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J'allais donc m'éloigner de lui et abandonner la sensation ses doigts caressant mes cheveux. Et ce sentiment que mon cœur sans vie quitte ma poitrine pour aller revivre près du sien.

Me3lish je m'y habituerais.

Enfin j'espère...

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Je vous passe deux semaines environs on était bientôt en octobre, il s'était rien passé de particulier je voyais Le E seulement dans les couloirs du lycée où quelques fois il venait chez moi.

Je commençais à 11 heure, je me suis préparée et tout après je suis partie vers chez Aurora, elle habitait les maisons à côté de la cité.

Moi: Wshh t'es riche

Aurora: C'est rien ça si tu voyais ma maison en Italie.

Moi: Connasse

Aurora: J'dahak on est pauvre wsh.

Moi: Si c'est ça pauvre moi je veux

Aurora: Purée on galère ici

Moi: De fou

Aurora: A cause de toi là tu me fais me réveiller bad tôt alors qu'on commence à 11 heures

Moi: L'avenir appartient a ceux qui se lève tôt choupette

Aurora: M'en bas les couilles de l'avenir moi j'veux dormir

Moi: PTDRR vazy si tu veux on bouge sinon je sens tu vas tout casser là c'est ça les dz nerveux pour rien

Aurora: On va au centre commercial ?

Moi: Vazy

Elle s'est préparée et moi j'ai mis mes affaires dans son sac à main j'avais que mes clés et un stylo on aurait dit que c'était la fin de l'année tellement j'avais rien comme affaire de cours.

On a pris le métro et on est arrivées au centre commercial. On a pris un petit déjeuner on avait la même passion pour la nourriture mdr sauf que elle comparer à moi elle était toute mince la chance elle mange mais elle grossis pas.

Un moment elle voulais aller à H&M et moi à Monoprix voir un truc pour ma mère et vu que les deux étaient littéralement à l'opposé on s'est séparées.

J'i suis allée et en sortant pour retrouver Aurora je suis passée devant le Jd de la dernière fois, j'ai vu le vigile mais lui ne m'as pas vu. J'avais envie de le faire chier vu que je savais qu'elle avait toujours pas finie donc je suis entrée.

Moi: Selem sahbi sdk depuis hier

Il m'a pas de suite reconnu mais après il a soufflé.

Moi: Trop mignon il se souviens de moi

Il part mais je le suis. Forceuse ? Oui clairement.

Moi: Ah aujourd'hui je peux entrer ? Ça dépends de ton humeur en fait.

Vigile: Tu veux quoi

Chronique de Rimen - Il avait les motsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant