Partie 8

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Je me demandais si lui aussi il pensait à moi et j'espérais au fond de moi que j'occupais ses pensées à longueur de journée comme lui occupais les miennes...

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Le lendemain je me suis réveillé plus tôt que d'habitude, j'avais envie de prendre mon temps pour me préparer.

J'ai à rêvé que j'étais en train de déménager, je portais ma chambre qui était dans un belle et grande maison et je la déplaçais dans une vielle maison toute pourrie.

J'ai cherchée ça veux dire qui aller avoir des changements dans ma vie. J'en conclue que ça allait être des mauvais changements, c'est pas grave je fais pas confiance aux rêves.

J'ai fais ma routine du matin, j'ai du prendre 1 heure à me décider pour savoir quelle coiffure j'allais faire, de base je sort en mode clocharde.

Je suis partie dans la chambre de ma mère et j'ai cherché pour voir si elle avait pas du maquillage, il i avait rien que je pouvais mettre seulement un rouge à lèvre rouge pètant qu'elle n'a jamais mis de sa vie. Dans son armoire j'ai trouvé une abaya rose foncée/violette donc je l'ai mise, elle m'allait trop bien, si elle disparaît de son armoire elle s'en rendra pas compte n'est ce pas ?

Après ça je suis partie chez Yousra.

Moi: (Toque) You You Yousra ma vieee

Elle ouvre et me met une tarte.

Moi: Aïe

Yousra: J'espère que t'as de bonne raison de me réveiller à 7 heure du putain de sbah

Moi: Sbah el kheir choupette t'as bien dormie ?

Yousra: Abrège cousine !

Moi: Maquille moi aycheck, mais pas beaucoup hein parce que toi tu sais pas doser

Elle ferme la porte.

Moi: Ow ! (toque) ouvres !

Yousra: Bara zamer !

Moi: Ouvres et la prochaine fois c'est moi qui accompagne les mamans au marché

Elle ouvre et me regarde mal.

Yousra: Entres

J'entre avec un grand sourire.

Yousra: Assieds toi

Moi: Plus sec la prochaine fois faire des phrases c'est gratuit hein

Elle m'a fait un maquillage mais vraiment léger, j'aurais pu le faire moi même, la blague mdrr même mettre du font de teint je sais pas faire.

C'était vraiment beau par contre, le seul truc qui me dérangeais c'était le gros pansement sur ma face mais au moins ma blessure de guerre était en train de cicatriser.

Je l'ai remercié, elle m'a insulté et je suis descendu attendre Coumba. Elle m'a vu elle était choquée mdrr elle me touchait en mode c'était pas réelle après elle me snapait. Franchement les filles ayez des copines qui vous saucent plus qu'elles même.

Chronique de Rimen - Il avait les motsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant