Partie 18

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Jusqu'au jour où j'ai fait tomber un putain de téléphone sur lui et qu'il m'a hagar, c'est qu'elle genre de love story ça ? De toute façon l'histoire s'arrête ici, elle n'a même pas commencée en fait parce qu'on a jamais réellement été ensemble donc qu'il voit d'autre filles ou pas en soit il est pas en tord  c'est juste moi qui en fait trop, peut être d'ailleurs que c'était moi « l'autre fille ». Rien que d'i penser les filles vous savez pas comment ça fait mal.

Se dire qu'en fait tu te fais des histoires de ton côté alors que du sien il pense même pas à toi, j'aurai préféré qu'il me haïsse qui veulent ma mort qu'il me souhaite du mal mais non, il veut rien de moi parce que je compte pas, j'existe pas, je suis rien pour lui.

Mais si vraiment je n'étais rien, pourquoi il m'avait renvoyé un message ? Pourquoi il avait même osé appeler mon frère pour essayer de comprendre ? Pourquoi il n'avait juste pas avouer ? Peut être que je compter un minimum et que ça n'était pas ce que je pensais, ou peut être que je me faisait trop d'espoir.

Ce qui était sur c'est que sa voix ne voulait plus quitter ma tête, comme une douce mélodie, une berceuse qui me faisait oublier tous mes pleures mes cris mes peines des jours passés.

Si il avait nié c'était peut être parce qu'il n'avait rien fait ? Mais je l'ai vu j'en suis sûr ça j'avais bien vu.

Non j'allais pas retomber. Je lui en voulais pour ses actes et j'allais tout faire pour que cette fois ci mon cerveau prenne le dessus sur mon cœur même si je ne le voulais pas.

Mais allais-je être assez forte, ou est ce que le chant des sirènes allait me faire faire naufrage dans les eaux dangereuses qui portaient son nom ?

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Après ça on est repartis dans la salle à manger. Il i avait tout le monde seulement les garçons sont partis plus tôt que les autres.

Pendant tout le longs je tirais une de ses têtes ma mère elle me faisait des signes en mode continue comme ça je vais t'encastrer là ton visage il va réellement devenir grincheux.

Et le pire c'était qu'après avoir mangé je pouvais même pas rester dans ma chambre tranquillement parce que les mamans elles m'ont obligées à prendre les petits avec moi. Ça veut dire je me suis retrouvée avec 1 bébé, 3 primaires les triplés là qui m'ont dit j'étais grosse et 1 collégienne si elle continue à me regarder comme ça je lui arrache ses gros yeux.

Moi: Quoi

Rabiaa: Toi quoi

Moi: Pourquoi tu me regardes on dirait tu veux mettre l'3in

Rabiaa: T'es parano ma belle

J'hausse les sourcils et elle fait de même mais ma belle c'est pas le moment de m'énerver là.

Le bébé il a commencé à pleurer.

Rabiaa: Faut tu le berces t'es bête ou quoi

Moi: Et chuis en train de faire quoi là ??

Rabiaa: Tchipp

Moi: Un problème ?

Rabiaa: Non

Moi: C'est ce que j'me disais

Chronique de Rimen - Il avait les motsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant