Chapitre 13

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TW : HOMOPHOBIE.

J'étais de retour du voyage, il nous restait 30mn de route avant d'arriver. Je rigoler avec Dunes quand nous arrivâmes. Je descendis et quelle fut ma surprise quand j'ai vue ma mère, son téléphone en main, je me précipitai vers elle pour lui faire un câlin mais elle me repoussa automatiquement. Soudain, elle me montra son téléphone. Une photo de moi et Céline nous tenant la main. Elle commença a me hurler dessus, comme quoi j'étais une erreur de la nature, qu'elle allait porter plainte contre Céline. Elle m'insulta devant toute ma classe et mes professeurs. Puis elle lâcha un gros sac de sport par terre.
- Ouvre le. Me dit-elle
Je me baissai pour l'ouvrir quand je vis tout mes vêtements.
- P-pourquoi ? Lui demandai-je la voix fébrile.
- Puisque tu es majeur, t'as cas te trouver un logement.
Puis elle partit, me laissant seule, avec mon sac. Caroline et les autres profs partirent avec les élèves, quant à Céline elle resta avec moi. Elle me consolait du mieux qu'elle pouvait. Bon sang qu'est-ce que je l'aimais. Puis elle m'emmena à l'internat. La fin des cours étaient dans 1mois et il fallait que je trouve un job, et un appartement pour la fac. En voulant rentrer dans ma chambre, le Directeur était là.
- Désolé Aline mais ta mère t'a supprimé de l'internat.
- pardon ?
- désolé.
- Mais je vais dormir où ? Dis-je timidement.
La haine grandissait en moi, et je partis, où ? Je ne sais pas. Mais j'allais là où m'emmenait le vent. Je finis par m'arrêter sur un banc, avec une prise à côté et m'endormis sur celui-ci.
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TW : SU!C!DE

Le lendemain, j'étais dévastée, je n'étais pas retourner à l'école, et j'avais marcher loin de cette ville maudite. Mon téléphone était déchargé, je ne pouvais plus joindre Céline mais je voulais juste en finir, j'attendai un pont, pour pouvoir me jeter par dessus. Et à force de marcher, je le trouvai. Il faisait nuit, nickel pour que personne intervienne, j'étais assise sur le rebord, histoire de me familiariser un peu avec mon habitacle. Mon coeur battait de plus en plus vite, j'avais les mains moites de sueur, mon ventre me faisait atrocement mal, ma tête se balancer de gauche à droite. J'étais perdue, bloquer dans cette euphorie constante. Mais des gyrophares me firent revenir sur terre. Je descendis rapidement du muret en pierre, relevai la tête en direction des policiers et je vis Céline, complètement apeurée.

De cette image, j'en suis traumatisée. Mon histoire aurait pu se finir maintenant, mais avec le temps, j'ai su me relevai et trouver la force de continuer malgré la perte de ma famille. Actuellement, j'ai grandis, je suis toujours avec Céline et nous sommes dans des tonnes de papiers d'adoption. On vit la vie parfaite, que j'ai toujours rêver, on travaille dans le même établissement et nos cours sont similaires. Nous sommes fiancées ! Elle m'a demandé en mariage, au même endroit où elle m'a embrassé à Londres. Dès que je peux, j'essaie d'aller voir Iris, sur sa tombe. Quant à Dunes et Sarah, j'ai apprit que c'était elles qui avaient envoyé la photo à ma mère. Alors je ne leur parle plus. Je suis comblée et heureuse, digne d'une fin Disney ridicule et peu original je vous l'accorde ! Mais heureuse quand même. Merci d'avoir lu mon histoire. Je suis bien triste de vous dire au revoir c'est pour ça que je vous dis, à bientôt !

Fin...

Ma scientifique.. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant