𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐈

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|TIANA|

— Ce sont les derniers ??

— Oui, enfin.
soupirais-je de soulagement

Ça va me faire du bien d'arrêter de plier touts les vêtements que contient ma garde robe, je fais ça depuis le putain de début de la journée !

— Va voir si il reste plus rien en haut au cas ou.

— Ok. J'arrive tout de suite !

Je monte une dernière fois dans les escaliers et balaye ma chambre d'un un regard nostalgique. J'ai passé tellement de bon moment ici. Chaque coin et recoins de cette chambre a un souvenir...

Une larme coule le long de ma joue que j'essuie rapidement en entendant ma mère arriver.

— Tu est fin prête ?

— Oui, complètement. Amine est descendu avec les dernières affaires.

— Descendons alors.

Je descend avec ma mère les bras charger de mes 2 grosses valises. J'ai d'ailleurs fallis tomber parce que j'avais trébucher dessus a plusieurs reprises.

— C'est bon ? T'as tout pris ?

— Oui c'est bon !

Il monte dans la voiture et fais rentrer mes 2 valises et mon sac à main avec un peu de difficulter, mais avant de rentrer à mon tour, je dois dire au revoir à toute ma famille. Avant de laisser un vide dans mon esprit lorsqu'il sera temps de partir pour vivre de mes propres moyens.

— Au revoir Tania, tu va nous manquer ! Appelle moi si besoin d'accord ?

Elle me prend dans ces bras en manquant de m'étouffer au passage. Elle m'envoie un sourire que je lui rend.

— Vous aussi vous allez me manquer.

— À plus ma petite !

— Arrête de m'appeler comme ça Fred. Je suis majeur je te rappelle.
Lui répondis-je faussement énerver

— Pardon ma petite !

En m'adressant à mon petit frère, je lui fais une tape dans les mains puis le prend ensuite dans mes bras dans une tendresse remplie d'amour.

— Fais pas trop de bétises ok ? Et attention aux réseaux, ne traîne pas dessus plus de 2h par jour. Promis ?

— Ouais ouais...

— Viens faire un câlin à ta grande sœur préféré !

— Encore ? Lâche moi t'es collante.

Je le caline encore une fois contre son gré et tire sur ses joues. Il grimaces avant d'émettre un petit rire.

— Allez dépêche toi de me faire un câlin pour qu'on puisse enfin arrêter de voir ta tête. Je te jure, c'est trop fatiguant.

— Mais oui viens la.

Je m'approche d'elle et lui chuchote de façon à ce que personne n'entende ce que je vais lui dire.

DÉTESTE-MOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant