𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝐗𝐈𝐗

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—|TIANA|—



jours plus tard...


Sékou — ROAAAR !

— AAAHHH ! Mais t'es malade ?!

Sékou — Joyeux Halloween.

Alva — Ça fait une heure qu'il fait ça...

— Purer j'ai eu peur !

Sékou — Bah euh oui ! C'est un peu le but en fait.

Je le contemple pendant quelques secondes avec un sourire au lèvre. Mon mesquin petit frère est vêtu d'une cape de vampire, des fausses canines, ainsi de d'un maquillage utopique dont le faux sang m'a d'ailleurs coûté une blinde.

Signer par mes propres coups de pinceaux, j'en suis assez fière d'ailleurs !

Sékou — Il en jette mon déguisement hein ! Va mettre le tiens !

— D'accord, j'arrive...

Je re-monte à l'étage et enfile mon déguisement assortie à celui de mon petit frère.

T'es pas un peu grande pour ça ?

Mais non ! Enfin je pense ?

Un gros je porte une cape avec des fausses dents. Original hein ?

Je redescend toute excitée à la recherche de mon partenaire de chasse. Je compte bien remplir mon sac ce soir.

— Ta daamm ! M'exclamais-je en ouvrant en grand les bras

Sékou — Enfin ! Du coup maintenant on peux y aller ?...

— Nan, on doit attendre Aya et les jumaux.

Sékou — Ohhh...Tous les ans c'est pareil. Maugre t-il en se laissant tomber sur le canapé

— Attend je vais l'appeler je reviens.

Je quitte la pièce et marche à grande enjambée jusque dans le salon.

— « Coucouuu ! »

— « Salut Tiana, t'es prête ? »

— « Oui ! Bon bah évidemment je ne vais pas te poser la question hein... »

—« Je sais je sais ! J'arrive bientôt ! »

— « Il y a intérêt ! Parce que Sékou commence à s'impatienter. Et tu sais comment il est..»

— « D'accord, je t'appelle quand je serais sur le point de sortir. »

— « D'accord, à toute ! »

— « Salut. »

Je raccroche et préviens mon petit frère.

Depuis ma dernière altercation avec Evan, j'avais prévu de ne plus sortir du tout et de ressasser tous nos souvenirs en mangeant de la glace devant une bonne comédie romantique, comme Titanic par exemple.

Mais avec une famille comme la mienne par, c'était hors de questions. Nous étions allés dans plusieurs parcs, des aquariums, et au cinéma. On était partit voir un film d'horreur, et d'ailleurs, absolument personne ne le trouvait terrifiant, excepté mon père qui, lui, avait hurler durant tous le long.

Qui croirait que quelqu'un d'aussi costaud et imposant que mon père serait terrifié par les films d'horreur ?

Et à chaque fois que je rentrais, (littéralement, épuisée) de nos sorties familiales, je reçevais un appel de Lucas. Et j'ai remarqué que les appels étaient toujours à la même heure.

DÉTESTE-MOIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant