La chronique de neyla: C'est toi ou personne.

Chapitre 18

Sans meme lui laisser le temps de réaliser ce que je venais de dire. Un bruit brise le début de silence qui commencer à s'installer. Le téléphone de Samir sonne. Il étais poser de face, un numéro s'affiche, ce dernier me paraît familier. Il me semble l'avoir déjà vu. Et je vois qu'il ne décroche pas bien au contraire il raccroche. Le téléphone se mis à sonner une seconde fois. Il fis de même en silence. Il semblais gêner.

Moi : sa semble important elle te rappelle , décroche.

J'insiste sur le elle. Je savais qu'il s'agissait de Loubna.

Samir : hlef personne t'as rien dis.

J'ai mis du temps à comprendre qu'il parlais de réflexion et du bisous ... il change de sujet

Moi: arrête de changer de sujet.
Samir : hlef
Moi: t'as pas honte de faire attendre euhh ..... comment elle s'appelle déjà ( en faisant mine de réfléchir ) ah ouiii Loubna. Elle t'appele probablement pour te remercier du beau présent que tu lui a fais.

Il me regarde troublée

Samir : parle français
Moi: hein ?
Samir : tu sais quoi ?
Moi : sur toi et Loubna. Probablement pas assez.
Samir : parle français je t'ai dis.

A ce moment précis tous se remue dans ma tete. Le soir ou il a oser me négliger devant ses amis. Le soir ou il a oser faire pénétrer dans MA maison Loubna. Le soir ou je l'ai aperçus manger au macdo avec elle. Le jour ou il lui a offert ce fameux bracelet. Le jour ou elle s'est invitée à mon mariage pour pleurer devant Samir. Toutes les fois où elle téléphoner sur son téléphone.

Moi : c'est à toi de parler français Samir, pas à moi .

Il fronce les sourcils avec incompréhension.
Je ne ressent même pas l'envie de m'énerver. Je veux pas lui montrer que sa me touche. Je vais jouer l'indifférente.

Moi: tu l'aime encore Loubna ?
Samir : pk tu dis sa ? Parle dis moi ce que tu sais ?
Moi : mdrrr tu répond pas non c'est que oui, tu l'aime. Écoute Samir il suffisais de me dire que tu parvenais pas à l'oublier et j'aurai compris. Sa aurai été bien plus honorable de ta part que de faire sa dans mon dos. Si c'est celle que tu aime et tant bien même que t'es parents ne l'es pas accepter ne t'entête pas à te marier a quelqu'un d'autre pour oublier celle qui hante tes pensée parce que tu va non seulement faire perdre du temps à la personne qui est en face mais tu peux aussi la blesser par la même occasion. Tant fais pas c'est pas mon cas. Et si t'as peur de décevoir tes parents tktt on trouvera un prétexte ou on dira simplement que sa n'a pas fonctionner de toute façon c'est la vérité. Quand on y pense toi et moi sa marche pas. Sa aboutira jamais à de l'amour, c'est la règle que t'as fixée et maintenant je comprend pourquoi. Sa fais des mois qu'on est ensemble et on ne vie pas comme un couple mariée.

Je m'arrête de parler et je ne vois aucune réaction de sa part. J'avais raison. Par son silence il venais d'acquiescer tout ce que je venais de dire.

Moi: dépose moi chez ma mère s'il te plaît.

Je ne réalise pas vraiment ce que je suis entrain de dire mais je sais que quand je percuterai sa va me faire mal.

Sans un son il se met à rouler. J'en ai fais des chemins avec Samir mais celui la fut bizarre. Pourtant sa a jamais été l'amour fou entre nous mais celui la étais différent. Je savais que c'était probablement l'une des dernière fois que je le verrai et quand j'ai réaliser sa mon coeur s'est serrer. Je voulais tourner mon visage vers le siens pour l'observer encore et encore mais j'avais bien trop peur qu'il me perçoive l'observer. Et puis au final j'avais beau me questionner sur ce que je resent pour lui, sur le fait qu'à mes yeux à ce moment il étais le plus beaux des hommes, sur le fais qu'il étais omniprésent dans mes pensais, c'était une autre qui animer les siennes. Cette idée me fis ravaler mes états d'âmes et me persuada qu'il ne fallait pas que je paraisse faible devant lui.