𝐅𝐋𝐄𝐌𝐌𝐀𝐑𝐃

3 | Hirata

Vendredi

VENDREDI
Maison des Hirata, 19h53.

La semaine était enfin terminée, je verrai plus leur sale gueule de con pendant deux jours... j'en ai presque les larmes aux yeux.

Je sortais de la douche, j'avais enfilé mon pyjama de star, il est constitué d'une chemise manche courte en satin bleu roi, et le short qui allait avec, je laissa mes cheveux détachés, en général je les attache tout le temps, mais pas chez moi, je fis mes derniers soins et j'enfila mes chaussettes de maison qui tiennent bien chaud, elles étaient blanche.

Je descendis et partie dans la cuisine pour me prendre quelque chose à manger mais ça sonna à la porte.

Putain il est déjà là? Et pourquoi il toque, il n'a pas oublié ses clés ce matin... dis-je en pensant à mon oncle, qui vit sous le toit de mon père.

Je me dirigea vers la porte d'entrée, puis l'ouvrit.

— Tu fou quoi ici ?! M'exclamais-je en voyant Nagi devant MA PORTE.

— Madame la première a oublié qu'elle avait un devoir à faire avec son camarade ? Pas très sérieux tout ça.

— Nan mais attend, c'était pas prévu sale con, et comment tu sais que j'habite ici !

— Bah si, je te l'ai clairement dit mercredi, tu me laisses rentrer ouuu que les p'tits ?

Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi culotté que lui, il s'est clairement invité chez moi et crari j'ai pas mon mot à dire en plus ?

Il est vraiment trop culotté, je pensais pas qu'il allait venir.

— Euh Nagi t'étais sérieux en plus ? T'es complément malade va te faire soigner à t'inviter comme ça chez les gens.

— Commence pas à me faire chier, j'ai vaincu ma flemme pour venir travailler, et en plus de ça je vais devoir fournir d'autre effort alors estime toi heureuse que je sois là, parce que c'est soit maintenant soit jamais.

Je vous jure j'ai tellement envie de lui en coller une, je sais pas ce qui me retient sincèrement il mériterait une grosse claque dans sa race.

Vous voyez pourquoi je ne peux pas me le voir ? Je préférerai encore voir sa connasse de chanteuse qui lui sert de bestie na bestie.

Qu'est ce que je ferai pas pour ma réussite à l'école sérieux...

— J'te laisse rentrer mais t'avise plus jamais de me parler comme tu viens de le faire, c'est moi qui décide, toi t'obéis comme tu sais si bien le faire.

Il me fixa en clignant des yeux et en ne disant rien puis il entra chez moi.

Il est vraiment chelou lui...

Je lui indiqua de s'installer dans le salon le temps que j'aille chercher le matériel dont on aura besoin pour travailler.

J'alla dans ma chambre et pris tout ce dont nous avions besoin, c'est à dire, l'énoncé, des feuilles, des stylos et le cours pour Nagi le con qui ne doit pas le connaître.