14 | Hirata

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« J'aime être seule, mais je préfère être seule avec toi »

Quelque jours étaient passés depuis que je m'étais mise en couple avec Nagi, tout se passait pour le mieux, cette semaine on avait pas cours, en vue de l'examen qui approchait à grand pas le lycée avait décidé de ne pas nous donner cours afin qu'on puisse réviser.

On est à J -10 de l'examen final, et les cours seront terminés.

Je n'ai toujours pas eu de réponse de l'université que je voulais intégrer, les réponses devraient arrivés entre 2 semaines et 1 mois.

Enfin bref, actuellement je suis dans ma chambre, je révise la physique.

Mais mon téléphone sonna et me coupa dans mes révisions, pas besoin de vous dire qui était mon interlocuteur.

Tu fais quoi ? Résonna sa voix à travers le téléphone.

— Je révise ? Dis-je comme si c'était logique.

Tu veux bien venir réviser à la maison ? J'ai pas pris les derniers cours de physique. 

Je souffla.

Qu'est ce qu'il ferait sans moi sérieux.

Je jeta un coup d'œil à l'heure, il était 19h43.

— Ok j'arrive.

Tu gères.

Sur ce, je raccrocha et rangea mes cahiers, je les mis dans mon sac à main et partit me préparer en une tenue confortable.

Un jogging gris et un top blanc, c'est carré la league on est ensemble nn pardon la jsuis genante ftg sofia

Bref.

Depuis quand je coupe mes révisons pour quelqu'un moi ?

Je laissa mes cheveux détachés, pris mes affaires et j'y alla.

— Tu vas où ? Me questionna mon père.

— Chez Sei, on va réviser.

Mon père était au courant qu'on sortait ensemble, j'avais fini par lui dire.

Ça va, il détestait pas Sei, je crois même qu'il l'aimait bien un peu.

Enfin bref.

Mon père me déposa là bas, et une fois chez lui je décrocha ma ceinture.

— Tu dors là bas ? Dit-il entre deux gorgées d'eau.

— Pas à ce que je sache. Je te tiens au courant ?

— Faisons ça. Bonne soirée mon cœur.

Je lui adressa un sourire et me dirigea vers la porte d'entrée de Nagi, je m'apprêtais à toquer mais je me rappela que j'avais le double de ses clés parce que je cite : « J'aurai trop la flemme de venir t'ouvrir, c'est mieux que t'ai les clés ».

J'entre donc et posa mes baskets à l'entrée avant de monter, là où se trouvait sa chambre et c'est sans surprise que je le vis entrain de jouer à la play.

𝐅𝐋𝐄𝐌𝐌𝐀𝐑𝐃Où les histoires vivent. Découvrez maintenant