𝐅𝐋𝐄𝐌𝐌𝐀𝐑𝐃

16 | Hirata

« Le comportement donne des réponses claires. »

— Tu me rejoins dans 10 minutes, c'est bon pour toi ? Me demande mon père.

— Oui, je serai là.

Mon père me sourit et sortie de la chambre qui m'avait été attribuée, elle se trouvait juste en face de celle de mon père.

Nous étions arrivé au blue lock il y a deux jours, ce qui m'a laissé le temps de m'installer comme je le souhaitais.

J'avais pris une douche et sécher mes cheveux que j'avais attachée dans un chignon bas, quelques mèches rebelles se logeaient devant mes yeux, mais ne me gênait par pour autant, car elles étaient fines.

Puis par dessus mon top noir, j'enfilai la veste du Manshine City qu'on m'avait donné, et des baskets blanches.

Avec ça j'avais un bas de survêtement noir, ni trop large, ni trop serré.

Aujourd'hui, c'est la première fois où je vais rencontrer l'équipe, bien que ça fasse deux jours que je suis là, mon père ne m'avait pas sollicité pour l'aider, il a juste fait connaissance avec l'équipe et leur a élaboré à chacun des entraînements et exercices spécifiques à eux même, et je l'ai bien évidemment aidée.

Je connais tous les joueurs, après tout ça fait 2 jours que je les observe et que je prend en note leurs capacités et leurs jeux respectifs.

J'étais pressé de revoir Nagi, je ne lui avais rien dis sur ma venue, il n'était pas au courant que j'étais là.

D'ailleurs mon père m'avait dit que Nagi avait choisit le Manshine City, parce que les joueurs du Blue Lock pouvait choisir leur équipe respectif, pour la Neo Egoist League.

— Liraz ? Dit mon père en toquant à la porte.

Je fini de rentrer mes lacets dans ma basket et ouvrit la porte, mon père se tenait devant moi un sac de sport à la main.

Il me le tendit et je le pris.

— J'ai remplis les gourdes, je t'ai enlevé une tache ! Me dit mon père fière de lui.

Je ne pus empêcher mes lèvres de s'incurver dans un sourire sincère.

Je le remercia, la porte de ma chambre se ferma automatiquement, c'est vraiment le futur le Blue Lock sah.

On avança vers le terrain, mon père m'expliquait qu'ils avaient déjà commencé l'entraînement et qu'il était très important car ils ont un match contre l'équipe Allemande, dans moins d'une semaine.

On arriva sur le terrain où les joueurs étaient en train de s'entraîner, mais l'équipe n'était pas au complet, je le sais car ils étaient 7 sur le terrain.

Je posa le sac sur un banc et sortie les gourdes en les alignant proprement.

— Agi ! Résonna la voix de mon père, va me chercher les autres qui sont à la salle de muscu' ! On se retrouve ici dans une minute, allez !

Je posa ma main sur l'épaule de mon père.

— Ça fait pas partie de mon travail ça ?