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                          Karim.                              

Sa fait une semaine que j'essaie de la joindre en vain.

Je décide de mettre un terme à cette rencontre pour retourner à Beled el Azir.

Mouna: Karim puis-je venir avec toi.

Moi: non!

Dis-je fermement avant de me diriger à grand pas vers la voiture.

Mon intuition ne me trompe jamais.

Et il y a des choses qui se sont passés derrière moi.

Ma mère n'a rien voulu me dire au téléphone.

Elle m'a juste dit de revenir le plus tôt possible.

Mouna: nous n'avons pas fini le traiter.....

Moi: tu peux très bien te débrouiller sans moi.

Elle me barre la route.

Moi:

Mouna : est-ce à cause de l'autre femme que tu m'abandonnes

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Mouna : est-ce à cause de l'autre femme que tu m'abandonnes.

Moi: suis-je ton époux ou es-tu un enfant pour qu'on veille sur toi.

Mouna : tu es mon promis.

Moi: vraiment.

Mouna : oui.

Moi: navré si tu prends tes rêves pour de la réalité.

Mouna : Karim tu ne sais pas ce dont je suis capable.

Moi: toi non plus tu es loin de me connaître.

Mouna : je la déteste sans la connaître !

Moi: tant mieux.

Mouna :NON JE NE TE LAISSERAI PAS PARTIR......

Moi: ne m'oblige pas à utiliser la force.

Elle fini par se ressaisir. Fin c'est ce que je croyais.

____

Moi: salam aleykoum.

Halima : Karim , mon frère il s'est passé des choses horribles.

Soraya : Petite fille.

Halima : laisse-moi tranquille , mon frère il faut tu saches qu'ils l'ont tous condamné.

Moi: qui ?

Émir : HALIMA ! EST-CE UNE MANIÈRE D'ACCUEILLIR TON FRÈRE DE SON RETOUR.

Amine : Marhaba !

Moi: mon oncle.

Dis-je en déposant un baiser sur sa main en signe de respect.

Les femmes nous ont ensuite rejoins.

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