Karim.Moi: je n'accepterai pas ce mariage.
Émir: es-tu entrain de désobéir à mon ordre.
Moi: OUI ET JE LE FERAI DES NOMBREUSES FOIS. LAISSEZ-MOI VOUS DIRE QUELQUE CHOSE PÈRE. JE VAIS DÈS DEMAIN PRENDRE L'AVION POUR PARIS.
Émir : Veux-tu tester ma patience.
Moi: C'EST VOUS QUI TESTER LA MIENNE. HORS DE QUESTION QUE J'ÉPOUSE UNE AUTRE QUE LA MÈRE DE MON ENFANT.
Je quitte ensuite la salle pour me rendre dans ma chambre.
Halima : Karim est-ce que tu vas la ramener.
Moi: inchallah. Quitte à me mettre père à dos.
Halima : elle a beaucoup souffert.
Dès qu'elle a commencé à me raconter tout ce qu'ils lui ont fait subir . J'ai ressenti la haine plus que delà colère.
Halima : où vas-tu.
Furieux , je suis allée trouver Ousmane dans sa chambre.
Fatima : ya ALLAH Karim lâche le.
Nous avons commencé à nous battre et se fut très violent.
Moi: je vais te faire regretter mot pour mot tout les insultes que tu lui as sorti.
Ousmane : et moi je garde la satisfaction que tu n'auras jamais tout ce que tu désires. * Rire* crois-moi après tout ce qui s'est passé ici même son ombre ne voudra pas revenir.
Moi: contrairement à toi , je sais bien traiter une femme.
Amine : OUSMANE , KARIM ARRÊTER !
Soraya qui exagère comme à son habitude.
Les hommes du palais ont réussi à nous séparer.
Il se tenait la bouche.
Soraya : regarde ce que tu lui as fait.
Rania : ne lève plus jamais la voix sur mon fils.
Soraya : ce bon à rien. Il est juste jaloux du succès de mon fils.
Rania : si pour toi le succès signifie la méchanceté mon fils et moi n'en voulions pas !
Soraya : ah Émir , Émir qu'est-il allé chercher auprès d'une femme comme toi.
Fatima : regarde ce qu'il a fait à mon pauvre mari. Laisse-moi soigner ça mon chéri.
Ousmane : toi dégage !
Dit-il en la bousculant.
Je l'aide à se relever.moi: cava.
Fatima : hum.
Moi: tu n'es qu'un.
Amine : KARIM ! NE TE COMPORTE PAS COMME UN INSOLENT DEVANT TON GRAND FRÈRE.
Ma mère me saisit la main puis m'amène dans le jardin.
Nana: cava.
Je m'asseois sur les marches en pierres.
Moi: c'est difficile pour moi nana.
Elle pose sa main sur ma tête.
Nana: cette fille a beaucoup souffert.
Moi: je sais.
Nana:tu veux la vérité.
Moi:hum
Nana: à sa place , je ne reviendrai pas dans un pays où l'on veut ma mort.