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              Kitania.   

De retour au palais , nous avons jouer le jeu.

Moi:  jamais tu m'entends, je parle comme je veux.

Karim :  Beled el Azir est un pays qui a toujours été ainsi et il n'est pas question que tu la change. A partir d'aujourd'hui tu vas devoir porter tout ce que les femmes descentes de ce palais porte.

Moi:  tu ne vas pas m'oblige à mettre cette voile.

Les autres finissent par se ramener.

Émir : que se passe-t-il ici.

Rania : Karim tu.

Lui: non Nana, le comportement de kitania est inadmissible. SI TU VEUX VIVRE DANS CE PALAIS IL TE FAUDRA RESPECTER NOS LOIS.

Émir : voilà ce qui est juste !

Soraya : pour une fois je suis d'accord avec toi.

Karim : ET C'EST MON DERNIER MOT FEMME. Que l'on ne lui donne pas de nourriture jusqu'à nouvel ordre.....

Il me pointe du doigt et monte les escaliers.

Rania : ma fille que c'est il passé ?

Moi: DÎTES À VOTRE FILS QUE MOI JE NE SUIS PAS UNE SOUMISE.

Mouna : tu devrais.

Ousmane : merci Allah notre créateur grâce à lui mon frère a commencé à ouvrir les yeux sur ta vraie personne.

Je lui lâche un scarface.

Émir: il se fait tard que tout le monde regagne sa chambre. Et toi jeune fille tu devrais prendre en considération les paroles de mon fils.

Ils s'en vont me laissant seul au milieu de la cour.

Mouna : thut thut thut. C'est dommage que tu perde ton plus grand allié.

Moi: ce n'est pas pour autant que je perds ma confiance.

Elle rigole puis se pose sur le grand canapé.

Mouna : je crois ma belle que tu n'as pas encore capté les règles de Beled el Azir.

Moi: peut-être pas mais je sais reconnaître une pute au premier abord.

Mouna : comment oses tu 👉

Moi: 😒

Mouna : c'est la deuxième et dernière avertissement. Quitte ce palais toi et ton fils.

Je me mesure à elle.

Moi: princesse de pacotille. Mouna, je n'ai pas peur de toi.

On se défilent du regard avant qu'elle ne finisse par partir.

Moi: mal de tête.

Je m'apprête à rentrer lorsqu'on me pousse vers le sol.

Moi: aïe.

Mouna : dernière avertissement.

J'ai voulu me relever lorsque je me suis rendu compte que mon genou saigne.

Moi: quel p*t*sse...

Je m'appuie sur la table puis me relève.

Une fois dans ma chambre, je sursaute en voyant un homme.

Karim : tranquille kitania c'est moi.

Moi: tu m'as fait peur.

Karim : je....

le pari d'une vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant