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             Kitania.              

Bien que la présence de Sayil était rassurant.

J'ai cette angoisse, la boule au ventre que sa venue ne sera pas bénéfique pour moi.

Mais Assez !

Le temps est venu pour moi d'affronter mes fantômes du passé.

Désormais je ne suis plus seul.

Mon fils est avec moi et pour lui je me battrai jusqu'au bout.

Les portes s'ouvre sur.

Karim :

Je me retiens de lever les yeux vers lui.

Lui: salam aleykoum.

Sayil : aleykoum salam.

J'entends ses pats se rapprocher de moi alors instinctivement je recule.

Il s'arrête puis je lève enfin la tête pour croiser son regard

Ce regard qui m'a fait tomber amoureuse de lui . ...

Karim : co..... comment vas-tu ?

Moi : bien!

Sayil : je vous laisse.

Il pose sa main sur mon épaule.

Sayil : je ne serai pas loin au moindre souci tu m'appelles.

Moi: hum.

Karim : je ne suis pas là pour lui faire du mal.

Sayil: et je ne vous laisserez pas.😡..

Ils se defièrent du regard avant que je n'intervienne.

Moi: je suis prête Sayil.

Il fini par hocher de la tête puis s'en va.

Silence....

Personne de nous deux ne parle. C'était comme ça durant des minutes avant qu'il ne prenne enfin la parole.

Karim : j'ai beaucoup de questions sans réponses.

Moi: et moi je n'ai pas de réponse à ses questions.

Karim : kitania.

Moi: il serait préférable pour toi d'arrêter. Va t'en et oublie mon existence.

Karim : et mon enfant dans tout ça.

Moi: De QUEL ENFANT TU PARLE ? CELUI POUR LAQUELLE ON M'A TRAITER DE FEMME SANS VERTU...

Karim : kitania je ne suis pour rien dans cette histoire mais j'aurais dû vous protéger.

Moi: TA FAMILLE M'A CONDAMNÉ. ENCORE TA FAMILLE A TUER MON PÈRE 😭.. TON PROPRE FRÈRE A FAILLIT M'ÔTER LA VIE... VA T'EN KARIM. MON FILS EST MIEUX LOIN DE TOI ET DE LA CRUAUTÉ DE LA FAMILLE BELED EL AZIR...............

Karim : ce.... c'est un garçon.

Moi: Oui.

Karim: puis-je le voir.

Moi:🤐...

Son regard était rempli d'émotions.

Karim : s'il te plaît.je veux juste le voir même si s'est de loin.

Moi: très bien !

Karim : merci.

Moi: seulement à une condition.

Il me regarde avec incompréhension.

Moi: je veux tu me fasses la promesse de ne plus revenir.

Karim : comment peux-tu me demander ça

le pari d'une vie Où les histoires vivent. Découvrez maintenant