Tout est fini, tout est fichu.
Mes larmes ont coulé comme le courant d'un ruisseau en pleine montagne.Ce ruisseau, seul, perdu entre les arbres, les végétations et les individus. C'est une référence ; à qui, à quoi ?
À toi de la décider.Le courant de ce pauvre petit ruisseau ne coula pas, jusqu'à ce que le barrage du castor fit fendu en deux. Le barrage tenait et résistait, le courant refusait de le détruire et de passer de l'autre côté.
Pourtant, c'est ce qui se passèrent...
L'eau passa de l'autre côté et fit une telle chute, ce qui saisit, surprit et brisa le ruisseau.
Tous individus, qui logèrent et se baladèrent du côté du ruisseau asséché dans la fente de celui-ci, s'énerva sur le ruisseau d'avoir cédé...
J'ai cédé. J'ai cédé. Mes larmes sont passées de l'autre côté, elles qui logeaient au fond de moi, elles qui se forcèrent de ne sortir.
Celles-ci sont passées de l'autre côté du barrage et ont engendré une secousse à son entourage, à ses individus. Le ruisseau, je, le ruisseau, lui, l'autre, je, le ruisseau, oui, le ruisseau perdit tout espoir, ses sentiments étaient exposés au monde, mais pourtant personne ne fit attention, mais tout le monde levait les yeux au ciel. « Ce n'est que des caprices. »
Pourquoi avoir cédé ?
Pourquoi maintenant ?Moi, je sais.
Car au bout d'un moment, alors qu'il pleut trop sur le ruisseau, celui-ci se remplit alors. La force du courant devint donc trop fort et poussa le barrage à céder. L'eau coula tellement fort et sans prévenir que le ruisseau eut honte. Il se jeta alors dans la mer et tenta de se cacher le plus possible. Et de nier la pluie, le seul responsable qui brisa le ruisseau, qui lui demanda : « Es-tu sûr que tu vas bien ? Raconte-moi ».Même caché dans la mer, la pluie était présente... Alors que le ruisseau aima la pluie, mais la pluie n'aima pas le ruisseau.
Ce texte n'est que propre sentiment.
Le ruisseau est quelque chose / quelqu'un, comme la pluie, comme les individus, comme la foret et la végétation, comme la mer et comme le barrage. S'identifier n'est pas toujours facile, tout comme identifier ses sentiments de haine, regret, jalousie, peur, amour, amitié, etc.Alors ne pas donner d'identification à ce texte permet à toute personne de s'identifier à sa manière. Moi, j'ai ma manière et je raconte mon histoire à travers la nature.
ecrit le 18 avril 2023
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Chroniques intérieures
PoetryChaque chapitre est une nouvelle petite histoire ecrite par moi-même. J'écris souvent mes pensés et sentiments de maniere abstraite ou réaliste mais je peux également ecrire quelque chose qui n'a rien de personnel et qui n'a rien à voir avec ma vie...