Par une nuit sans lune, l'orage est vainqueur.
Dans une mer sans fond, ces voies désespérées ; au fond des bois, il faut les entendre.
À l'horizon, l'armée applaudissait, en riant, de ceux qui ne seront jamais revenus.
Au fond des bois, son âme, des âmes ont disparu.
Pauvres têtes inconnues, rouillées, perdues. Vieux parents, marins, capitaines, mères, équipages, tous disparus...
Chevaliers morts, écrasés, malheur !
Plus qu'un rêve...
Date de l'ecrit inconnue.
VOUS LISEZ
Chroniques intérieures
PoesíaChaque chapitre est une nouvelle petite histoire ecrite par moi-même. J'écris souvent mes pensés et sentiments de maniere abstraite ou réaliste mais je peux également ecrire quelque chose qui n'a rien de personnel et qui n'a rien à voir avec ma vie...