𝑪𝑯𝑨𝑷𝑰𝑻𝑹𝑬 20. 𝑯𝒐𝒍𝒍𝒚𝒘𝒐𝒐𝒅

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Ouvrant avec attention le conteneur, par peur qu’un piège y soit, je me mis en retrait pendant que le système d’extraction se mette en place, m’évitant ainsi de me mettre en première ligne. À ma grande surprise, rien ne se passa, aucune explosion, aucun gaz ou piège quelque il soit. En prenant compte des vibration et variation de température que le conteneur avait dû subir, il était impossible qu’un système de détection de mouvement ou de chaleur y soit installé, sinon le piège se serait déjà déclenché accidentellement. Tout en restant vigilant face aux différentes éventualité, je sortis de la zone protégé et m’approcha de l’habitacle. L'espace d’un instant, je restai planté là, comme stupéfait par ce qui était devant moi.

Le conteneur était vide, complètement vide, pas de cartons, de cargaison, rien. La seule chose qui était dissimulé aufond était une petite enveloppe au fond de celui-ci, posé par terre. Je n’osa dans un premier temps pas l'ouvrir, que pouvait-il bien y avoir à l'intérieur ? Je m’attendais à beaucoup de chose, des armes non répertoriés, une bombe ou plein d’autre chose, mais surement pas à ça. Ma première pensée était destiné à era? comme à mon habitude ces dernières semaines. Un côté de moi savait pertinemment que cette lettre parlerait d’elle, le doute parsemait mon esprit, le fait qu’elle soit envoyée ici, était-il une menace, comme pour me montrer qu’ils pouvaient m’attendre moi et ma famille ? Sans attendre, je pris le bout de papier tâché par la poussière et me mis à le lire. Sur la feuille qui y était plié en trois, était noté à la main, une simple ligne au milieu.

“ 9 Lettres, 1 Lieu, Des milliers d'étoiles…”

Et puis rien, la lettre ne contenait rien de plus que cela. Je ne savais pas ce que cela signifiait, il n'y avait aucun nom, seulement ça, un soleil en bas de page. Était-ce son nom, une fantaisie ou peut-être sa signature ?

Je n'avais jamais été vraiment doué pour les énigmes ou les devinettes, la logique pouvait m’était familière pourtant trouvait une réponse dans une simple phrase laissée au hasard, me mettait davantage à l’épreuve que je ne pouvais me résoudre à l' admettre. Cette lettre ne m’inspirait en rien confiance, aussi, je sentais en elle une malveillance pure, un danger nous guetter toujours.

***

En rentrant dans la maison, quelques minutes âpres être parti de mon lieu de travail, j’avais ce qui me semblait être, interrompre une pseudo-sortie shopping. Après l’attaque d’hier soir, era avait refusé sans condition de sortir faire ce qui aurait dû être une sortie shopping avec sam. Son idée était d’aéré un peu l’esprit d'Era qui avait été bien plus sollicité que prévu ces dernières semaines, une idée que je dois reconnaître, très bonne, si seulement il ne s’était rien passé hier…

- non pas du rose, Sam

- mais pourquoi pas, c'est beaucoup trop beau le rose surtout sur une belle blonde

- JE N'AIME PAS LE ROSE !!!!

- je m'en fou prends-le !

Sam et elles étaient en train de faire du shopping sur internet. Il avait repéré un petit débardeur cours avec des volants sur les bretelles, d'âpres ce que je voyais de ma position assez lointaine. Un haut très beau, certes, mais pas assez beau et élégant pour elle. Elle meritait mieux pour elle, son corps si fin et délicat, mérite le meilleur et je m’étais promis de la soigner de ce qui l’obsédé, car moi c’était elle qui m’obsédait. Max m'avait prévenu quelques minutes auparavant de son réveil qui s'était mieux passer que les prévisions du médecin, à mol plus grand plaisir je dois bien l'avouer. Elle n'avais qu'une très légère migraine et aucunes séquelles en dehors des quelques bleus qui parsemeront son corps pour ces prochains jours.

- OK c'est bon

- de toutes façon, tu n'as même pas à discuter ce n'est pas toi qui paies

- Malheureusement, bon bref, tu as des nouvelles de loyde d'ailleurs ?

Dolce DaliaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant