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𝐄𝐦𝐞𝐫𝐲

- Jeune prince. Le peuple fait déjà acte de présence. Seul la votre est encore demandé et je doute que votre père soit d'humeur à faire acte de patience.

Malgré le fait que mon garde personnel reposait sa surveillance de l'autre côté de la porte il m'était distinctement possible de noter la naissance d'agacement dans ça voit. Alors que je réalisait le second nœud de fils d'or qui maintenait les ourlets de ma tenue, la nausée va me prendre de coup une seconde fois et cette fois-ci il me sera plus pénible de l'ignorer. Ce n'est qu'au moment de franchir la porte de ma suite royale que le visage impatient du jeune garde va venir apaiser les caprices de mon estomac. Le sourire chaleureux qui étiré ses lèvres rosées ne pouvaient que me prévenir que les évènements à suivre ne seraient qu'un moment désagréable de plus dans la vie. Et cette fois-ci, si la chance est avec moi, cela se terminera avant que je ne vomis mon piètre repas.

En tant que fils héritier au trône et membres de la famille royale je me dois d'être présent à ce genre d'événement aussi abject soit-il. Mon père a toujours m'y un point d'honneur à rendre public le châtiment qu'il donnait aux femmes juger comme étant des sorcières. Cela ne semble déranger personne d'autre que moi, que d'entendre les acclamations et les rires du bas peuple alors que des femmes viennent à se retrouver démembré pour nul autre raison que d'être des femmes de sciences. J'y songe une fois de plus alors que je quitte le palais pour m'y rendre.


- Grey, il me semble me souvenir vous avoir déjà ordonné de m'appeler Emery en l'absence de public.

*

- Mon fils. Comme il m'est agréable de te savoir à nos côtés en cette belle journée.

Comme mon père en fût la demande ma place fut disposée tout près de la sienne, de mes deux frères je suis celui placer le plus proche de son trône doré. À ma gauche reposes les fauteuils dorés et recouvert de la bannière rouge que mes frères aînés sont fières d'arpenter. De mon côté, il fut un temps où il en était de même, mon titre et la place sur le trône représentaient tout ceux pour quoi je vivais, je n'aspirer qu'a prendre la place de mon père quand le temps l'aura voulut. Aujourd'hui, je ne peux qu'avoir honte de porter ce nom. Honte de savoir que jamais mon pouvoir ne pourra changer les séquelles que mon père aura laissée avant moi.

Les sombre pensée au qu'elle je puisse me permettre de m'abandonner durant quelques instants seront brutalement chassée par les jacassements qui parvenais aux oreilles. Sans quitter la potence des yeux, comme me l'ordonnée mon titre et mon devoir, il me sera d'une simplicité familière de deviner quelque s'agissait de Erwin. De nous trois il est le fils qui a hérité de toute la cruauté de notre père. Sans doute a-t-il hérité de la part de cruauté qui m'était destinée, part dans je me passe sans grand regret.

- Regarde mon fils. Voilà ce qui est réservé à ceux qui tournent le dos à la couronne

Jusque-là je me contentais d'écouter les messes basses de mes frères tout en regardant la piètre foule qui se bousculaient sous mes yeux. Comment diable peuvent t'il tousse cautionner une telle barbarie. La voix rauque de mon père va de nouveau me ramener sur terre le rappelant la place sur là qu'elle j'était assis. J'avais conscience qu'il ferait référence au désaccord que j'apportais aux idéaux de mon père, ses paroles sonnais ainsi comme un avertissement à l'égard de ma personne, et je ne pouvais nier que ma présence fut demander pour que j'en sois une fois de plus témoin.

- Oui père. Je ne peux que voir ce que vous estimer être une belle journée.

J'avais conscience du regard qui était posé sur moi, j'en ressentais la lourdeur et deviner d'avancer qu'elles en seront les conséquences de mon affront. Malgré la place que j'occupais au sein de cette famille il ne met pas autorités de l'adresser ainsi au roi, toute fois, certaines fois les mots ne pouvaient rester plus longtemps coincé dans la gorge. L'atmosphère c'était changer à une vitesse dont je n'avais pas souvenir, assis là, je ne pouvais que voir l'impuissance dont j'était encore le serviteur. Grey était distinct, debout il se tenait fièrement droit dans son armure, mais son sourire charmeurs pouvais tromper tout le monde, je savais qu'il n'appréciait pas plus que moi toute cette mise en scène.

Les membres de la garde rapprocher sont destinés à suivre et à protéger le prince dont la protection fut assignée. Mais lors de chaque châtiment au qu'elle m'a présence est demandé, je ne peux compter que sur la présence d'une faible poignée de soldats que mon père ne prend pas la peine de choisir. Je posse mes yeux sur la silhouette de Grey en prenant conscience des risques que je prends, bientôt, cette pauvre femme se retrouvera le visage démembré du reste de son corps et la seule présence apte de m'aider à faire face à ce spectacle était debout bien trop loin de moi.

Alors que les dernières volontés de ses sorcières lui son retirer je sens l'angoisse former une boule dans le creux de mon estomac, ma gorge se resserre et soudainement je sens les regards de mes frères me foudroyé. Il attende-t-elle des charpies que le spectacle commence, que l'humiliation commence, que mon humiliation commence, mais il n'en sera rien, jamais je ne leur ferais le plaisir de m'abaisser à leurs niveaux. J'ai bien l'intensité de préserver mon image et la dignité même si mon estomac me prévient que mon déjeuner ne restera pas longtemps en place. Ma gorge le brûlé et je sens déjà qu'il me sera dure de garde la face.

Aux yeux de cette famille je ne suis qu'un piètre guerrier trop faible pour diriger, si le peuple n'était pas si désireux de me voir prendre la place de mon père ce dernière aurait sans doute déjà ordonné qu'ont m'exécute en cachette. Je le sais capable de faire passer cela pour un accident. Aussi, je joue ma meilleure carte et reste stoïque, droit et impassible pendant que la sentence mes fins au jour de cette pauvre femme. Une fois le corps de cette dernière sans vie, mon père se lève, adresse un regard remplie d'ordre silencieux à deux gardes, puis, nous faisons de même. De là où je suis je peux voir la fierté dans le regard de mon garde, tous nos entrainement n'auront pas été en vain. Si mon déjeuner ne menaçait pas de tout faire échoué j'en penserais sans doute la même chose.

L'aurore prenait place, ses couleurs ne pouvais que me rappeler les couleurs du sans qui allait pour la énième fois encrée les dalles grisâtre de la place. Cette même place qui représentait l'unique tombe qui fut autrefois offert à la mère.

Les terres de feu et de sang.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant