Chapitre 10 : Vengeance ? Un plat qui se mange chaud.

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Alia

Je tire sur la cigarette emplissant mes poumons dans son entièreté et passe mes jambes autour de son bassin plaçant la paume de ma main libre à plat sur son torse qui s'élève à chaque respiration. Par provocation, je viens cracher la fumer toxique sur son visage ou ses narines intercept tout de suite le poison qui se dissimule dans ses poumons, par instinct, il se met à tousser pour évacuer la fumer avant que je n'atténue les bruits de sa bouche de ma paume.

Et emprisonne entre mes doigts la cigarette encore allumer et l'écrase sur son avant-bras sans prêter attention à son corps qui se mouvemente, réveiller par la douleur que j'ai moi-même rencontré il y'a peu de temps.

—AAARGH putain ! gronde-t-il étouffer par ma main.

Je m'empare d'un sourire victorieux, satisfaite de cette réaction amplement méritée.

Soudain, mon corps se propulse contre le matelas en une fraction de seconde, une main serrant mon cou n'empêchant pas mes lèvres de s'étiré. Même si sa douleur fut brève, cela suffit pour me rendre fière de cette vengeance.

Sous la lune qui se reflète à l'intérieur de la chambre dans laquelle je suis emprisonné sous le corps encombrant de Jessy, j'aperçois son regard plein de rage et ses muscles contractés.

—Qu'est-ce que tu attends ? le provoqué-je d'un air amusé par la situation qui est maintenant inversé.

Gardant ses pupilles à l'intérieur des miennes quelque instant, nos s'affiliant l'une de l'autre dans une liaison folle. Notre monde s'englobe dans un seul qui devient encore plus intéressant qu'il ne l'était déjà.

—Merde...marmonne-t-il avant de se décrocher de moi et de n'ouvrir sa fenêtre.

Un rire émane de ma bouche, trop amusé par les évènements précèdent qui laisse à l'intérieur de mes veines l'adrénaline que j'aime tant.

—T'as aimé ? demandé-je en me redressant.

—Dégage ! si tu veux pas que je t'achève, la maintenant.

Je reprends la cigarette encore allumer que j'ai égaré dans sa brutalité et la remet en bouche aspirant à nouveau la fumer que je recrache dans sa direction.

—Tu as oublié ça, lui souris-je en glissant la cigarette entre ses lèvres.

Il me jette un regard noir avant que je ne me faufile vers la porte de sortie et retrouve mon lit le sourire scotché aux lèvres.

Après l'appel téléphonique de Leyson, j'ai dû me volatiliser un instant de la pièce laissant bouillonner Jessy à l'intérieur, et c'est maintenant que je ressens l'explosion proche inonde la pièce. Un appelle de seulement dix minutes m'annonçant que notre tante fréquente un homme depuis peu qui a tout l'air de lui offrir le parfait bonheur, ça m'a procuré du plaisir avant que Jessy réapparaisse.

Comme chaque jour depuis que je le connais, il hurle sans raison, juste pour déranger mes journées, mais j'avoue le chercher parfois, l'envie est bien trop tentante.

—Mais travail !

Sa patience est à rude épreuve, et je suis si près de son bureau que ses hurlements viennent directement agresser mes tympans sans vergogne.

—Tu ne peux pas arrêter de gueuler ! Et si t'es pas content tu le fais toi !

—Et je te paye pour quoi faire sinon ? Pour que tu ouvres ta grande gueule ! continue-t-il.

Je frappe ma main contre son bureau, le regard assombrit par mon geste.

—T'as fini ! Hurlé-je à mon tour.

Burning Pleasures T1 [ Réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant