Burning Pleasures T1 [ Réécriture ]

chapitre 16 : Tentation.

Jessy

Son visage était tellement absorbé par la lumière illuminatrice de son téléphone, reflétant dans le noir ses traits froissé, dans un conflit contre sois alors qu'elle allumait la lumière sans faire attention à celle de la cigarette qui rayonne dans le vide sombre.

Et maintenant la voilà en train de me dévisager, les cheveux légèrement battant contre l'air frais de la fenêtre ouverte dans mon dos. Une scène qui se grave dans ma mémoire involontairement, car plus mon regard s'attarde sur cet œuvre, et les risques que je m'y perde augmente grièvement.

Mon esprit brouillé, je garde sous le masque de fer le fracas qu'elle me procure, y laissant des débris a peine réutilisable. Je m'amuse de la crainte qu'elle éprouve malgré elle sur mon pouvoir de la réduire a néant si je le voudrais réellement, or ce gâteau a été commandé par Moona qui prend l'habitude de commandé toutes sortes de confiserie de grand chef, comme pour voyager à travers ses papilles gustatives.

C'est vrai que j'aurais pu y intégrer ingénieusement une poudre qu'il la rendrait hystérique, mais ça serait triché d'utiliser ma cam pour lui offrir douleur et repos.

—J'ai très peu confiance en toi Jessy.

Et tu as raison, mais comment se passé de tous ces moments si unique la rendant elle-même précieuse a ce tourment de torture. Suppliant presque qu'elle réplique plus fort, touché sa folie qui névrose ma conscience, qu'elle rouvre mes contusions pour y planter une lame plus profonde que la précédente.

—Mais dit moi, a ton super rencard, il n'y avait pas de dessert ?

Ses sourcils se froncent, dans un mouvement de recul et croise ses bras contre sa poitrine, manière défensive de se protéger. Libérant ses traits de la frustration, elle lève les yeux au ciel et récupère son téléphone entre ses doigts, poser contre le réfrigérateur qui est encore ouvert de l'autre porte.

Elle feigne une conversation en créant une autre, glissant ses doigts contre l'écran de son téléphone, affichant un semblant de sourire.

L'envie de lui arracher sa distraction la forçant à garder le contact de nos pupilles, partageant notre univers délirant qui s'approche toujours plus de l'extase. Alors que je scrute ses faits et gestes, l'harmonie de son corps crée une douce mélodie que je dérobe, tout plus lent, les iris longeant le galbe de ses formes qui passe sous mes yeux jusqu'à ce qu'elle s'assoie en face de moi, fourchette en bouche venant d'avaler un morceau de la part de gâteau qui siège entre nous.

J'amène ma cigarette entre mes lèvres, savourant ce duel qu'elle m'accorde, la tête légèrement inclinée alors que toutes son intention est tournée sur moi. Un simple accord visuel, une conversation muette, mais bien plus communicative que l'on ne pense.

Sa lueur qui émane d'elle me provoque en défi, un échange qui ne s'arrête pas qu'a un regard, mais c'est une admiration poussée, une activité pour se déchiffrer afin de mieux se détruire, sa déviance pousse mon cœur à battre dans un rythme effronté.

En coin, ses commissures s'élancent dans un sourire dévastateur, ruinant mes objectifs de l'éteindre à petit feu, m'éteignant sous son regard consumant.

Son téléphone a vibré plusieurs fois depuis qu'elle déguste le trois chocolat, mais pas une seconde elle s'est détourné, ferme sur ces appuie, prête à partir en guerre dans les maux qui nous transperce.

A la dernière bouchée, elle sourit de plus belle, et se lève l'assiette a la main.

—Je savais que tu n'en étais pas capable.

Mes pieds en contact avec le seul, serpente près d'elle, si proche qu'en se tournant elle me percute légèrement avec son épaule.

Glissant mon pouce sur sa commissure taché que je mène à ma bouche, le gout du cacao mélanger à sa peau est bien plus intense qu'habituellement.