HIS BLACK DOLL'

27.

08h21; Athènes; Grèce.

'Kara

~

- Où somme nous ? Demandai-je beaucoup trop tranquillement à l'homme qui était assis en face de moi.

La grande villa dans lequel nous étions était situé prêt de la mer de ce que j'ai pu apercevoir à travers les grandes fenêtres vitrées.

Je me suis réveillé avec le mal de tête le plus horrible que j'ai pu avoir de toute ma vie. Et a mon réveil j'étais dans une chambre incroyablement magnifique.

En ce moment, je suis assis contre mon gré dans la salle à manger, en face d'un homme que je ne connais pas, entrain de me forcer à fini mon assiette de pancakes.

Bien que l'envie de m'échapper m'ait pris, je me suis aperçu que c'était presque impossible parce que la villa était surveillé de partout. Avant même que je ne respire l'air de dehors, je me serais faire attraper.

- En grèce, plus précisément à Athènes Répond t'il après un long moment en buvant une gorgée de son café.

Mes yeux s'écarquillent en entendant sa réponse.

En grèce ?

Mais c'est pas possible...

J'ai dormi combien de temps ?

J'ai été transporté jusqu'ici contre mon gré, dans un pays que je n'aurais jamais imaginer mettre les pieds.

Je suis en plein cauchemar...

- Mais c'est pas possible je-

- C'est belle et bien la réalité kara, et tu ferais mieux de t'y habitué car ce magnifique endroit que tu voit là sera maintenant ta maison Affirme t'il d'une voix tranchante.

Ma maison ?

La grosse blague...

J'ai une vie à manhattan, des études a terminer, un petit appart bien soigner, ma passion pour la mode. Je n'étais pas blindé de frique mais au moins je vivais une vie tranquille et paisible.

Pourquoi est-ce ce que les choses sont devenu aussi compliqué ?

Pourquoi est-ce ce que je n'est pas eu un père normal comme tous le monde ?

Malgré que je suis partir loin de lui, cet homme a quand même trouver un moyen de me pourrie la vie.

Je le déteste...

et...

Je déteste ma vie.

- Vous n'êtes pas obligé de faire ça...si vous aviez un problème avec votre frère vous ne-

- La ferme ! Hurle t'il en frappant la table de son poing.

Son regard ce fit beaucoup plus sombre et il se levait de sa chaise subitement, s'avançant vers moi.

Je me lève à mon tour en essayant de m'éloigner de lui le plus vite possible. Mais avant que je ne fasse un deuxième pas, sa main se retrouva dans mes cheveux.