HIS BLACK DOLL'

32.

16h41; Manhattan; État Unis.

'Kara

~

Une semaine maintenant que nous sommes revenus à Manhattan.

Sept jours que j'ai repris ma vie ennuyeuse comme si de rien n'était.

Et cent soixante-huit heures que Théïs a disparue de ma vie sans laisser ne serait-ce qu'un mot.

Il ne répond pas à mes appels ni a mes messages. Le faite d'être ainsi ignoré par lui me fait plus mal que prévu.

Je ne comprends pas...

Où est-ce que j'ai fauté ?

Est-ce que...j'ai fait quelque chose de mal ?

Pourquoi se rapprocher de moi, me faire bêtement esperer, dire des mots réconfortants et disparaître comme ça a la dernière minutes ?

Il ne m'avait rien promis, rien de bien concret...je sais.

Notre relation n'avait rien de sain...ça aussi je le savais.

Mais pourtant, j'ai espéré, longuement espérer que je pouvait en tirer quelques choses...

Que moi aussi je pouvait être chéri et peut-être être aimé...un tous petit peu.

Mais je crois que j'ai trop rêver, beaucoup trop rêver. La vie n'est pas un comte de fée, je l'es bien compris.

Et maintenant je suis juste...là. Assise dans un petit café près de mon université. En vie mais ressemblant a une morte vivante physiquement.

Comme si quelques choses m'avait été elever. Ça peut paraître exagéré, peut-être que j'en fait trop.

Mais putain.

Je pensait que cette fois-ci j'avais trouver quelqu'un qui pourrait juste...

M'aimer.

Oh que je suis naïve.

Naïve et désespérée.

Naïve d'avoir cru en lui, de lui avoir donner ma confiance.

Et désespéré parce que je suis aller voire chez lui et je n'est même pas pu rentrer parce que les gardes a l'extérieur ne m'ont pas dû tous laisser l'occasion.

En plus ils avaient l'air beaucoup trop effrayant. Alors j'ai finir par partir.

Fuir.

Comme je sais si bien le faire.

- Mais c'est quoi cette tête Kara Lance la voix de Nath en venant prendre place sur la chaise à côté de la mienne Tu ressemble a une morte vivante.

Nath, l'américo-coreén, le petit nouveau a l'allure un peu ghotic qui est devenu en l'espace de quelques jours un fidèle ami.

Oui c'est lui.

J'ai même été choqué a mon retour quand j'ai apperçu les vingtaines d'appels et messages qui provenait de lui me demandant ou j'étais ou encore pourquoi je ne venait plus en cours.

Cette attention m'avait beaucoup touché, car malgré qu'on ne se connaissait a peine, il s'est inquieter de mon absence et a pris la peine d'essayer de me joindre.