HIS BLACK DOLL'

52. Part One•

14h38; Manhattan; État Unis.

'Kara

~

Détruit.

Tout est carrément saccagé, anéanti, brûler.

Tous ce que j'ai mit en œuvre depuis ces dernières années ont été réduit en fumée. Comme si ils n'avaient jamais exister.

La poitrine serrée, je m'avançait vers mon ancien chez moi avec un goût amer dans la bouche. Mes pieds rencontrent les débris de brique brisées, mais ça ne me dérangeait pas vraiment.

Il y'avait beaucoup plus grave en ce moment :

C'était la vision assombrit de l'endroit ou j'avais battit mes rêves.

- Mademoiselle ? Lança jack en entrant dans l'appart Ça fait un moment que vous êtes ici, alors je suis venu voire comment vous alliez.

Essuyant mes larmes avec la manche de mon pull, je me retournais vers lui.

- Ne t'inquiète pas pour moi Jack, tu peux bien retourner au dehors si tu veux. L'odeur de la fumée est désagréable, tu risque de tomber malade Dit-je en touchant le mur noire qui était anciennement tout blanc.

- Je reste avec vous Répond t'il.

C'est pas bien grave. Il ne me dérange pas de toute façon. Ce n'est pas un problème.

Le seul tracas que j'ai a cet instant précis, c'est de devoir faire mes adieux à cette maison.

Le propriétaire m'a contacté. Et apparemment, l'immeuble va être rénové dans quelques mois. Les anciens locataires pourront, si ils le veulent reprendre leurs anciens appart.

Mais est-ce que c'est nécessaire ?

Revenir ici ne serait pas comme si je revenais en arrière ?

Je pourrais tous simplement...rester avec Théïs. Mettre mes peurs de côté et essayer quelques chose de beaucoup plus sérieux avec lui.
De toute façon, j'étais toujours chez lui après les cours. C'est devenu pour moi une deuxième maison. J'ai même la moitié de mes affaires chez lui. Alors ça ne changera pas mes habitudes.

Et puis, il le mérite.

Il a tellement envie que je vienne vivre avec lui. Et ce n'est pas une idée qui me rebute, loin de là.

Habiter ensemble, officialisera vraiment notre relation de « Mari-femme ». Et même si ce statut est encore lent a digéré pour moi, pour le moment, c'est déjà fait.

Kara Botzaris...

Ça sonne plutôt bien en vrai.

Maintenant que je porte ce nom. J'ai cette impression que j'appartiens vraiment à quelqu'un. Je ne suis plus cette fille rejetée par son père, et qui doit se débrouiller toute seule pour subvenir à ses besoins. J'ai plus les épaules aussi lourds que des mois auparavant.

J'ai Théïs maintenant. Et il me suffit amplement.

Souriant intérieurement à cette pensée, je détourne les talons prête a partir. Mais mon pieds heurte une chose posé sur le sol.

Intrigué, je me rabaisse et prend en main une sorte de carnet....

Mais....c'est mon carnet de dessin ?