HIS BLACK DOLL'

37.

16h:38; Manhattan; Etat Unis.

'Kara

~

Les cours venait à peine de se terminer. Une longue journée fatigante dédiée sur le droit constitutionnel. Et j'ai beau vouloir faire semblant d'avoir aimé.

Mais putain, c'était d'un pure ennuie.

- Je le savait, je n'aurais pas dû choisi cette filière Lance Nath à mes côté.

- Non s'il te plaît arrête, tu vas me faire douter aussi Dit-je en soupirant.

Nous étions Installer depuis plusieurs longues minutes dans le petit café près de l'université.
Après un début de cours plus que fatiguant, nous somme ensuite venu se gaver de petite pâtisserie.

Une sorte d'habitude que j'avais pris depuis que j'ai commencé à étudier dans cette école. Nath m'as lui aussi suivit et me rejoint à chaque fois dans ce café.

- Heureusement, c'est bientôt Noël. Et qui dit Noël, dit les vacances ! S'exclame joyeusement Nath.

Je lui lance un sourire participant à sa soudaine bonne humeur.

Mais intérieurement, c'était une chaîne de sentiments aussi contradictoire, les uns que les autres.

Je déteste Noël.

- La seule bonne chose à propos de cette fête, c'est en effet le repos Dit-je en soupirant.

- C'est quoi cette tête d'enterrement ? Demande t'il T'as pas l'air d'aimer Noël j'ai l'impression.

- Je ne déteste pas réellement Noël. Mais ont va dire que je n'est jamais eu de bon souvenirs avec cette fête. Avouait-je avec un air triste.

Aussi longtemps que je me souvienne, je n'est jamais réellement fêté Noël. Mon père n'accordait pas vraiment d'importance à cette période. A vrai dire j'ai plutôt l'impression qu'il était encore plus invivable quand c'était Noël.

Je me rappelle encore de ce jour ou j'ai eu le malheur d'essayer de décoré le maigre sapin, qui avait réussi à rester en vie depuis des années. J'ai eu droit à 40 coups de bâton en bois sur les bouts du doigt.

Je n'avais que neuf ans.

Je me souviens encore de sa voix rocailleuse qui me hurlait dessus comme si j'avais commit le plus grand crimes de l'histoire.

« Petite idiote, je vais finir par te tuer un jour » Avait t'il hurler ce jour là.

Et pourtant, je n'avais versé aucune larmes. Aucune plainte de douleur avait passé la barrière de mes lèvres. Ce qui avait rendu mon père fou de rage, résultat il s'est encore plus acharné sur mon petit corps d'enfant et j'ai abdiqué. J'avais fini par pleuré fortement en me pliant sur moi même pendant que je recevais silencieusement les coups.

Enfin de compte, je me suis dis que je ne méritais pas de profiter de cette fête comme tous les gamins de mon âge. De recevoir une poupée barbie, d'attendre patiemment le père Noël toute la nuit avec des cookies et du lait prêt de la cheminée. Se réveiller tôt pour déballer les cadeaux.

Je n'est jamais eu droit à tous ces merveilleux choses.

Alors je me suis toujours dit:

Que je ne méritais rien de bon.

- Hé oh ! Kara ! Fit fortement la voix de Nath.