22h:11; Manhattan; État Unis
'Théïs
~
Une forte odeur de sang ce dégage de la pièce toute blanche. Une pièce du sous-sol de ma maison que j'ai emménagé pour me défoulé quand l'envie me prendrait.
Et cet instant précis, c'est pas l'envie qui me manquait.
Pistolet, seringue, catana, couteau...Tous les outils nécessaires sont présents.
Le show peut enfin commencer.
Je me retourne vers la misérable forme accrochée.
Pablo Perez.
Un fils de pute qui m'a voler plus d'un millions de marchandises. J'avais décidé de lui arraché tous ses doigts pour les donner comme snack à mes chiens.
Mais après avoir appris que cette enflure avait violé des fillettes, je vais lui arracher non seulement ses bras, puis ensuite lui couper sa bite.
Il ne sera pas vraiment un grand manque pour le monde. Au contraire, sa mort épargnera d'autre enfants de ses intentions pervert.
Tuer pour le plaisir ou Tuer pour sauver ?
Peut-être les deux.
J'aime tuer, j'aime torturé, voire le visage apeuré de mes victimes, les entendre me supplier pour leur misérable vie.
Tous ça me rempli d'un plaisir tellement immense.
Ouvrant soudainement les yeux. Mon nouveau joujoux a le visage instantanément déformé de peur dès qu'il pose ses yeux sur moi.
Ses deux mains sont attachées vers le haut, de sorte a ce que je me défoule correctement sur lui.
Je m'approche de ce déchet humain avec ce couteau bien aiguisé en main. La peur se fait ressentir sur son visage déchiqueté et c'est une image qui me plaît.
Je place le couteau au niveau de son ventre. Je commence petit a petit a faire des mouvements bien appuyés. Mon intention est d'écrire un simple mots dans ses chaires, comme ça même mort, je laisserai une trace de mon passage sur son cadavre.
Je commence a tracé la première lettres très lentement. Le sang coule déjà a flot sur le tapis blanc.
La particularité de cette pièces est que tout est faite de blanc, du mur au plafond en passant par les instruments de torture. Mes vêtements son aussi blanc, une simple combinaison avec des gants et un masque.
La couleur rouge du sang, j'aime voire cette couleur associée au blanc.
Voire la pureté du blanc être salit par cette couleur qui symbolise tellement de choses est un spectacle si beau à voire.
Mon couteau se déplace habilement sur son ventre déjà ensanglanté. J'écris la dernière lettre puis observe mon chef-d'œuvre:
KAMU SEDANG MEMBACA
HIS BLACK DOLL'
Romansa« L'amour obsessionnel est un état hypothétique dans lequel une personne ressent un désir obsessionnel de posséder une autre personne, envers qui il a une forte attirance avec une incapacité à accepter l'échec ou le rejet » ...
