HIS BLACK DOLL'

43.

21h49; Manhattan; État Unis

⚠️Mature content.

'Kara

~

- Enfin, tu es rentré M'exclamais-je en m'approchant de Théïs qui venait de pénétrer dans la chambre.

Je m'apprêtais à me blottir contre son torse, mais le regard qu'il afficha fit stopper tous mes mouvements.

Son regard argenté avait viré au rouge. Son visage affichait une expression dure.

Il avait l'air d'une humeur massacrante.

- Théïs...ça va ? Je demande en essayant de toucher son bras dans l'espoir de le faire tiquer.

- Ne me touche pas ! Hurle t'il en repoussant ma main.

J'écarquille les yeux a son gestes, essayant de comprendre pourquoi il agissait ainsi.

Mais c'est quoi son problème au juste ?

Il passa à côté de moi, sans un regard pour moi. Il s'aventura dans son dressing, puis il sortir quelques secondes plus tard avec ses affaires en main et s'enferma dans la salle de bain.

La bouche encore entrouverte et le regard dans le vide. Je pris place sur le lit, attendant patiemment qu'il finisse pour le confronter.

Pleins de question s'éparpilla dans mon esprit déjà chambouler par mon altercation avec Malvin. Et maintenant c'est Théïs qui en rajoute avec son comportement digne d'un ados de 15 ans en pleine crise d'adolescence.

C'est définitive, c'est un gamin et j'ai eu une soirée de merde.

Ironique non ?

Il y'a eu ce putain de Malvin et maintenant Théïs qui fait comme si j'existais pas pour x raison, alors que ça fait des heures que je l'attend patiemment, ici, comme une idiote.

Oui...c'est sûrement ce que je suis.

Une idiote.

Une idiote qui est tombé amoureuse.

Quelques minutes plus tard, la porte de la douche s'ouvrir dans un bruit fracassant le faisant lever la tête. Théïs apparaît torse nu avec seulement un jogging gris comme vêtements. Ses cheveux noir étaient légèrement mouillé le rendant encore plus sexy qu'il en avais l'air. Émerveiller, je descendis mon regard sur son torse tonique, admirant ses abdos luisantes recouvert d'eau.

Je me repris bien vite et remonta mes yeux jusqu'à son visage. Il semblait plus détendu qu'à son arrivée. Mais l'agacement était encore visible sur les traits fin de son visage.

Intérieurement, je savais que je n'étais pas la cause de son humeur de phacochère. Mais, je détestais le faite d'être ignorer de la sorte.

Comme si je n'étais qu'une statue, une chose insignifiante et sans valeur.

Je déteste subit ses sauts d'humeur.

- Théïs...

Je venais de prononcer son prénom, et pourtant, il envoyait aucun regard en ma direction. Comme si je n'avais pas parler, il m'ignorait complètement.

Assis sur le fauteuil en cuir qui prônait dans la pièce, ses yeux étaient rivés sur son téléphone. Ses sourcils froncés témoignait de son énervement dû sûrement à quelqu'un.