HIS BLACK DOLL'

24.

11h: 47; Manhattan; État Unis.

'Kara

~

- Ouvrez votre livre à la page 120 s'il vous plaît Prononce la voix forte du professeur.

Les bruits dans la classe disparaissent soudainement et chacun repris sa place dans le calme.

Le professeur commence enfin son cours, et pour la première fois depuis très longtemps, je m'ennuie à mort et l'envie de passer la porte de l'amphithéâtre me pris soudainement.

Mes pensées sont beaucoup plus loin que cette salle de classe.

Et une seule personne gouverne mon esprit.

Théïs...

Qu'est-ce qu'il fait en ce moment ?

Pense t'il à moi ?

Ou peut-être qu'il viendra encore me voire cette nuit.

Un sourire se dessina sur mes lèvres a cette pensée.

Je doit avouer que ces temps-ci sa présence n'est pas si pesante que ça...en tous cas - pas comme avant.

D'ailleurs pourquoi est-ce qu'il ne vient plus à l'université ? Il en a déjà marre ?

Je ne l'es vu que de rare fois ici mais maintenant j'ai envie qu'il soit bizarrement là.

Même si...

Je crois qu'il n'est pas vraiment décidé à me laisser tranquille et c'est pas comme si j'avais un problème avec ça.

Bien au contraire...

Il est toujours là dans les moments où j'ai le plus besoin d'aide. Il me réconforte quand je me sens seule et malgré son comportement assez impulsif, il n'est jamais aller aussi loin que des simples caresses avec moi.

Il ne m'a jamais donner l'impression qu'il voulait me forcer à faire quoique ce soit, et c'est ce que j'ai apprécié le plus.

Sa protection.

Je me sens en sécurité avec lui et c'est rare que je ressente ce sentiment chez les hommes.

Mais avec lui...c'est bien différent.

- Euh...salut lance une voix masculine.

Tournant la tête vers la source de cette voix inconnue, je tombe sur un garçon que je n'avais jamais vu auparavant.

Il était brun, les cheveux mi-long bouclés, des yeux noir bridé. Il semblait être un asiatique mais en même tant il avait les trait plus dure. Peut-être un métisse.

Il es peut-être nouveau. pensais-je.

- Salut ça va ? Demandait-je en le sentant un peut anxieux.

Il passe sa mains dans ses cheveux et c'est à ce moment précis que je remarque qu'il a des vernis noire sur les ongles.

Un homme qui met du vernis ? J'aime bien.

Il est stylé en plus de ça. Il a un côté tirer sur le gothique et je trouve ça incroyable.

Je sens qu'ont va s'entendre tous les deux.

- Oui et toi ? Demande t'il à son tour j'aime bien ton collier, tu l'a acheté où ?

Baissant la tête sur mon colliers en corie de plusieurs couleurs. La fierté me pris soudainement.