Amour De Lycée

Chapitre 3

Des pleures, la pluie, le tonnerre, le bruit strident des sirènes des ambulances. Des voix, des cris des pleures.
Silence.
Un bip répétitif.
Une porte qui se ferme.
Toujours et encore ce bip.
Une porte qui s'ouvre.
Une voix.
Ce même bip qui s'emplifie.
Un cris.
Des bruits de pas.
La porte s'ouvre, se referme.
Encore des pas.
Une respiration saccadée.

‹‹Eijiro ! ››

Des yeux rubis s'ouvre, la respiration ralentit. Un médecin le regarde sous toute les coutures, lui pose des questions sans recevoir de réponse. Puis part de la pièce le laissant seul quelques secondes lui permettant d'observer le lieu où il se trouve. Une pièce blanche, un lit blanc, des meubles blanc. Des machines à ces côté dont t'il ignore l'utilité. Son corps lui fait mal, sa gorge le brûle, sa jambe gauche le fait souffrir le martyr et sa tête lui semble être percuté par un marteau chaque seconde. Mais pourtant il est heureux d'être réveiller. De se sentir vivant.

‹‹Eijiro ! J'ai eu tellement peur pour toi ! Katsuki et Hanta sont en chemin, ils étaient à l'agence quand tu t'es réveiller. Ça va ? Tu as besoin de quelque chose ?››

Eijiro la regarda complètement perdu. Que lui était t'il arrivé ? Pourquoi se trouve t'il à l'hôpital ?

‹‹Oh mince c'est vrai que tu es sûrement complètement perdu. Laisse moi t'expliquer. Il y a 4 jours, Katsuki ta envoyer un message te demandant de venir le voir, tu es partit sauf qu'il a commencé à pleuvoir des cordes. Et tu as eu un accident, un poteau électrique est tomber juste devant toi. Je ne sais pas trop en détails comme il n'y a pas eu de témoin. Mais le principal c'est que tu va bien ! Le médecin a dit que tu pourrai sortir d'ici 2jours et que tes blessures devrait cicatricer rapidement. Pour de nouveau parler se sera rapide, en même pas 2jours ça devrait être bon et ta jambes gauche et dans un plâtre pendant un petit moment. Tu es donc en arrêt niveau boulot. Tu devrais pouvoir reprendre le travail d'ici 5 à 6 mois, sa dépendra de toi.››

Toute ces informations donnèrent à Kirishima l'impression que son cerveau venait de l'abandonner en quelques micro-secondes.

‹‹Tu sais se qui est génial ? C'est que tu pourra venir à notre fête du premier mercredi du mois. ››

Il devait avouer qu'il avait hâte d'y aller mais ce souvenir que Denki y serait le démoraliser un peu. Il avait peur de comment se passerai leurs retrouvailles après tout ce temps.

‹‹Hanta ! Kit Kat !
-M'apelle pas comme ça l'alien rose !
-Katsuki calme toi, Eijiro n'a pas besoin que tu hurles alors qu'il vient de se réveiller.
-Ouai ouai.
-Alors comment ça va ?››

Hanta le regardait d'un grand sourire toute en s'approchant de son lit, Mina s'était installée sur le bord du lit et Katsuki était debout non loin de lui et semblait se disputer avec lui même. Il s'en voulait sûrement de se qui lui est arrivé mais à cause de son égo il n'avait pas le courage de lui demander pardon. Alors Kirishima le regarda et lui fit son plus beau sourire pour lui faire comprendre que se n'était pas sa faute, ce qui marcha plus tôt bien même s'il voyait que le cendré semblait encore s'en vouloir.

‹‹Eijiro ? Tu nous entends ?››

Le rouquin sortit de ces pensées et se rappela de la question que lui avait posée son ami. Il hocha donc positivement de la tête pour lui indiquer qu'il entendait. Hanta lui reposa sa question et il y répondit positivement.
Les discussions s'éparpillent ensuite, parlant de tout et de rien. Mais principalement de l'agence dont ils faisaient partit et de leur petite fête du mercredi.
La fin des visites arriva rapidement et ces amies durent partir le laissant seul dans cette chambre d'hôpital. Quand ils furent partis il regarda plus attentivement la chambre, et remarqua qu'il y avait des cadeaux sur la petite table ce trouvant face à son lit, il y avait également des pivoines rouges, c'est préféré. Il avait apprit dans un livre que les pivoines rouges signifiait une ardente passion envers un être aimé, mais comme c'est ces fleurs préférés la personne n'a pas du faire attention. Mais il se demandait bien de qui sa pouvait venir, malheureusement il ne pouvait pas bouger de son lit pour savoir le destinataire.
Il fut dérangé dans ces penser par un bruit provenant de la porte, une jeune femme au long cheveux blond légèrement ondulé et au yeux d'un magnifique vert émeraude, vêtue d'une simple blouse blanche accompagné de son pantalon blanc ainsi que ces chaussures également blanche entra dans la pièce les mains chargés d'un plateau de nourriture. Elle lui souriait timidement se qui lui montra qu'elle ne travaillait pas ici depuis longtemps.