Je pleure tellement que j'ai de la misère à respirer. Je tremble de tout mon corps et j'essaye de me pousser plus loin du sang, mais c'est comme s'il y en avait partout. Je fini par me recroqueviller sur moi-même. Je sens une présence à mes côtés et rapidement, je me met à penser que c'est le tueur de Z. Je hurle et me débat dans le vide.
« Lara... dit doucement la voix de Z. »
J'ouvre les yeux et comprend que c'était lui, la personne qui était à mes côtés.
« J-Je suis tellement désolée, je bégaye tristement. J'aurais dut t'écouter, je n'aurais pas dut descendre ici, pardonne-moi je suis vraiment, vraiment déso- »
Ma voix se coupe comme si une main s'était mise sur ma bouche. Je fronce les sourcils et regarde Z qui a un doigt sur sa bouche pour me faire signe de me taire. Je ferme ma bouche et le regarde bizarrement. Il tourne sa tête vers un meuble et je l'imite puis me lève lentement.
« Quoi ? Qu'est-ce que c'est ? Je demande. »
Z me regarde en fronçant les sourcils et se lève aussi. Il marche vers moi et s'apprête à mettre sa main sur mon épaule, mais son bras traverse le mien. Légèrement déçu de constater que les contactes physiques sont impossible, je le questionne du regard. Il avance vers moi tellement près que je sens son souffle contre mon visage. Comment puis-je sentir son souffle si je ne peux sentir son corps ? Il avance encore plus près et je me raidis en ne voyant qu'un ou deux centimètres entre nous. Il se penche et je ferme les yeux en attendant la suite. Lorsque je les ouvres, je vois le regard triste de Z croiser le mien avant qu'il n'entre en moi. Puisque son touché passe à travers moi, tout son corps est en moi. Puis il disparaît et je le sens en moi : dans ma tête, dans mes yeux, dans mon coeur, dans ma bouche, dans mes oreilles, dans mes mains, dans mes pieds, bref partout. C'est comme s'il était entré dans mon corps. Je réalise alors que j'avais espéré qu'il m'embrasse. J'ouvre grand mes yeux et plaque ma main sur ma bouche. Je rougie et me secoue la tête. Non, je ne peux pas. Je me redresse normalement et met ma panique de côté. J'avance, sans m'en rendre compte, vers le meuble que Z à montré. Je ne contrôle pas mes mouvements. Je m'approche du meuble et avec une force que je n'ai pas, je le soulève pour le mettre correctement. Je laisse mon corps agir et me contente de regarder attentivement. Sous la genre d'armoire se trouve une bouteille de vitre, ou du moins, ce qu'il en reste. Elle est éclatée et il y a du sang partout dessus. Une rage m'envahie sans que je ne comprenne et je me met à parler.
« C'est ce qu'il a utilisé ! C'est ce qui m'a tué, je cri en colère. Lara, c'est... cette putain de bouteille qui lui a servi d'arme ! »
Je comprend alors que Z est en moi et qu'il se sert de mon corps pour pouvoir toucher et déplacer les choses. Il est en moi, nous sommes deux âmes dans le même corps.
« Putain de connard ! Je hurle et je suis en accord avec ce que j'ai dit. Je suis désolé Lara, pardonne-moi d'avoir prit possession de ton corps sans ton accord, mais je devais savoir ce qu'il y avait sous l'armoire et je savais que tu aurais eu beaucoup de difficulté à le soulever toute seule.
- Ce n'est pas grave, je ne
t'en veux pas, je me répond à moi-même.- Merci pour tout, je me remercie et je sourie. »
( nda: comprenez-vous l'échange ou bien est-ce trop mélangeant ? :x )
Je sens quelque chose quitter mon corps et je suis tout de suite étourdie. Je manque de tomber et me retient sur le mur.
« Ce sont... les éffets... de... la possession..., dit Z et je grimace parce qu'il parle mal lorsqu'il est en "fantôme".
- Ce n'est pas grave, dis-je à vois basse. »
Je regarde autour de
moi et ne vois pas Z.« Z ? Es-tu là ? » Je demande mais il ne me répond pas.
« Z !? Je redis plus fort.
- Pourquoi... me nommes-tu... Z...? Demande-t-il avec sa scortum de voix lointaine.
- J-Je ne sais pas, j'avoue légèrement surprise.
- Tu... sais que... mon nom n'est pas... Z...?
- Oui, je le sais. C'est une habitude, je suppose.
- Pourquoi...?
- Parce qu'avant je n'osais pas te nommer par ton vrai nom car tu me faisais peur, je te haïssais tellement que pour moi, te nommer par ton vrai nom signifiait avoir un quelconque respect envers toi, dis-je à voix basse en me sentant mal. »
Il apparaît près de moi et me regarde tristement puis détourne le regard. Je soupire et me passe les mains sur le visage. Je le respecte, maintenant. J'ai vu qu'il est quelqu'un de bien, tout ce qu'il veux est de trouver qui l'a tué.
« Me... crains-tu... encore..? Demande-t-il finalement.
- Non, je lui répond directement sans trop y penser.»
C'est vrai, je ne le crains plus. Oui, bien sûre, par fois j'ai peur de certain truc qu'il fait, mais je n'ai pas peur de lui.
« Me... haïs-tu... encore...? Demande-t-il et cette fois je pense avant de répondre.
- Je... »
Je le regarde longuement d'haut en bas en mordant ma lèvre tout en réfléchissant. Je l'ai haïs très longtemps et même, je le haïssais il y a une semaine. Je le haïssais lorsqu'il est apparu dans le miroir, je le haïssais lorsqu'il était dans ma chambre, je le haïssais... jusqu'à hier. Depuis que je lui ai parlé dans mon côma, je ne ressens plus cette haine familière envers lui. Sans le savoir, le fait d'accepter de l'aider ou bien j'irais même jusqu'à dire que le fait de vraiment l'aider a atténué ma haine envers lui. Aussi bizarre que cela puisse paraître, le fait d'accepter de faire ce qu'il me demandait de faire -ce qui causait justement ma haine- a fait en sorte que je ne l'haïsse plus. Bien sûre, je ne l'aime pas non plus ! Je veux dire, il est mort. C'est juste que je vois en lui qu'il a été un humain comme moi avant de mourir.
Je sors de mes pensées en plongeant mon regard dans le sien et y décèle du désespoir.
« Je sais... que tu n'as pas... la vie facile... par ma faute... et j'en suis... désolé... je sais que... je suis un monstre... et que c'est... égoïste... de te faire souffrir... pour arriver... à mes fins... » Dit-il et je le regarde longuement.
J'éclate de rire, mais pas d'un rire sarcastique ou méchant, un vrai rire gentil et pure.
« Ça a dut être dur de dire tout ça, hein ? Je lui dis gentiment en souriant. »
Il me dévisage avant de sourire à son tour.
Wow.
Je me sens fondre face à son sourire. C'est la première fois que je le vois sourire et SCORTUM ce qu'il en a un beau ! J'inspire et dit finalement :
« Non, Zayn, je ne te haïs pas. »
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Hey ! :DPersonnellement, je suis fière de ce chapitre !
Alors, le "rapprochement" de Zara ? -> nom de ship de merde xD c'est une boutique de soulier EWW euh Layn ? Zayra ? Larayn ? Zaynra ? Choisissez 😂
Je ne vais pas vous raconter ma vie, mais je dois partager avec vous quelque chose qui M'ENRAGE ! (Vous n'êtes pas obliger de lire, c'est juste une petite tranche de vie😂) Nous étions à notre dernière période de cours *sadlife-or nahh*, (dernier cours avant les vacaaaances) et j'étais avec mon copain en train de parler itout... et la y'a une de ses amiEs qui lui disait plein de truc du style "annw t'as un beau cul" ou "Est-ce que tu trouves Mady belle ?" (Mady c'est une meuf nowhere ew) PUTAIN J'AVAIS ENVIE DE LUI ÉCLATER LA GUEULE BORDEL ! (Non, je ne suis suuuurtout pas possessive ! #ironie) Alors lorsque la cloche à sonné, je marchais à côté de mon meilleur ami et j'ai vue la salope AKA l'amie de mon copain de dos face à sa case. Lorsque je suis passé à côté d'elle, j'ai poussé mon meilleur ami sur elle et elle s'est cogné contre son casier 😂😂😂 Elle a dit "Aie wtf" en se tournant vers nous et je lui ai fait un regard noir.
Non mais elle parle comme ça à MON mec, j'allais pas la laisser faire ! Elle était moche aussi svp😒🙏
Breeef
Je vous aime !
-Choubina❤️
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Monstrum | Z.M | Terminé
FanfictionLorsque la nuit tombe et que la ville est réduite au silence, il se réveille. Elle croit l'halluciner alors qu'il est véritablement là, tapis dans la noirceur, l'observant. Il lui demande de l'aide, mais elle le perçoit comme des menaces. Pourtant...