Chapitre II - 1er mois dans le vide stellaire

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1 mois après avoir pénétré l'espace

Constellation du verseau

Ici, nous sommes concentrés, nous regardons droits devant et nous admirons les décors au loin qui défilent à une vitesse folle, la lumière des étoiles, la clarté des galaxies...
Chacun d'entre nous rêve, moi je m'imagine un tas de trucs pouvant résider sur cette planète jumelle à la nôtre, je m'imagine peut être des créatures semblables a des petits ou gros animaux. On pourrait imaginer des humains, mais qui eux ne connaissent pas notre existence !! Non... non, non, là ce n'est pas réaliste, Je crois que je vais un peu dormir car j'ai besoin de développer ma créativité ; je suis surtout un peu fatigué, haha !

The Special Falcon - 2 heures du matin (heure terrienne)

Une alarme retentit, c'est une alarme qui signale une présence d'émanation toxique, tout l'équipage se réveille, et fait tout son maximum pour réparer le problème. De mon côté je m'occupe d'absorber, grâce à un matériel suréquipé, les mauvaises particules de gaz toxiques et de corrosif. Une fois le problème réglé, tout le monde vérifie pendant 2 heures si tout va bien, c'est ici que les problèmes commencent.
On pourrait croire à quelque chose de commun, mais celà veut dire qu'un truc est mal réglé et nous ne savons pas quoi. Suite à cela je m'en vais me rendormir sous l'immensité de l'univers froid et infini (avec un peu de pression).
Au petit matin spatial, je me réveille et rejoins directement mes camarades, nous discutons du problème passé et nous cherchons réponse à nos questions. Personne ne sait pourquoi celà s'était déclenché. Marco et Amélia restent avec Konstantine pour encore discuter, moi, je me posais devant le tableau de bord admirant la beauté du cosmos.
Des fois j'aimerais vivre seul sur une planète, où il y a que moi, personne pour m'embêter, vivre ma vie, être libre, ne pas travailler et avoir de la nourriture à volonté. Parfois on me dit : "Mais Alexandre tu es fou ?" Je préfère être fou mais être un rêveur qu'être un malheureux sans rêve.

Manquerait plus qu'un problème de plus pour me détruire mon petit moment calme. Sachez que à ce moment précis, l'alarme retentit. Ah cette fichue alarme qui gâche tout...Tout le monde panique, ce problème est encore plus gros que le dernier, mais intéressant. Le vaisseau est accroché par une forte gravité d'une énorme planète rocheuse similaire à Mars ! Elle est tellement énorme, mais notre vaisseau est attiré tellement fort que ça nous déforme la réalité, notre vue est chamboulée, nous sommes complètement cloués au mur. Évidemment nous sommes préparés à cet événement, et on ne craint rien, car il suffit que l'un de nous active l'atterrissage forcé si ça déraille, par contre si elle avait été gazeuse on serait mort a peine rentré a l'intérieur. Nous pénétrons dans cette mystérieuse exoplanète à pas de géant.

Destination planète rouge.

Putain...! Mais c'est quoi ce truc... On est totalement aspiré on tombe à une vitesse folle dans un monde rouge, on dirait Mars, j'ai mal de partout, on va surement se crasher..
Mais je vois alors Jordan se battre de toute ses forces pour lutter contre cette gravité pour activer le levier actionnant le système d'atterrissage forcé, je prie à fond pour que ça marche, un petit effort, aller... Il l'a fait !! La navette retombe alors toute seule, contrôlée par le système, lui aussi extraordinaire.
On est alors tous rassurés et on plonge dans le vide à une vitesse mesurée et tout se passe pour le mieux.
Nous voilà sur cette planète, Satoru sort du vaisseau en premier, on avertit la base de contrôle, et on part explorer.

Planète rouge, planète tellurique, 6fois plus grande que la Terre.

Il fait tellement chaud, c'est horrible je transpire tellement, Carla, Satoru, Alice et Jordan sont partis explorer et prendre des clichés pendant que nous essayons de remettre l'engin à pied.
Je dirai qu'il fait 80 degrés, on est évidemment préparé et on ne ressent que 30 degrés.
Alors que le vaisseau est de nouveau tout neuf, les deux explorateurs sont revenus tout affolés.

Je commence alors à m'inquiéter, en criant je dis :
-Que s'est il passé, Montrez nous les photos !
-On doit littéralement se casser, bougez vous le cul !" Dis Carla.
-Mais qui y a t-il bordel ? Questionne Aiden.
-On a pas une minute à perdre ! Crie Alice
Satoru montre alors du doigt le nord, nous voyons une horde de choses vivantes.
Nous prenons ces bizarreries encore une fois en photo et nous décolons en vitesse, ces trucs ont l'airs de nous en vouloir.

Le Jour Où Je Me Suis Perdu Dans L'univers Où les histoires vivent. Découvrez maintenant