- Chapitre 18 -

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- James - 

Mon téléphone me fait sursauter, je vois que la lumière du jour passe sous les rideaux de la chambre, hier avec Spencer et Antonio on a essayé de faire les rechercher pour Klein, tard le soir mais Antonio nous à proposé de finir tranquillement de son côté, en voyant l'heure nous avons vite accepté et je me souviens plus de comment ca c'est fini, j'ai du m'endormir en quelques secondes, vu les documents et le stylo au sol. J'attrape mon téléphone et décroche en fermant à moitié les yeux pour ne pas agresser mes yeux. mais j'ouvre les yeux en entendant la vois qu'Antonio.

- James ?!

- Ouais mec ? 

- tu as vu l'heure ? 

- non dis moi.

- il est presque quinze heure, on a faillit débarquer chez toi. Tu as pas entendu tes trente appels ?

- ah bah non du coup.

- mais je pense qu'on va devoir..

- pourquoi ? 

- tu dois voir les résultats que j'ai trouvé cette nuit..

- c'est grave ? demandais-je tout en me redressant dans le lit.

- oui...On peut passer tout à l'heure ? 

- passe maintenant si vous pouvez je veux pas attendre.

-ok...A de suite alors.

- ouais.

Il raccroche mais je me lève immédiatement pour m'habiller et descendre car je sais qu'il va bientôt arriver. Je sens mal cette histoire, j'ai pleins de questions qui me traverse l'esprit. En arrivant dans la cuisine j'entends la sonnette de la porte resonner dans la maison, je presse le pas pour leurs ouvrir la porte une fois que j'ai vérifier qui s'était. Ils me check avant de rentrer, après avoir fermé la porte je vois Antonio qui à quelques documents dans mains, cela semble à des documents imprimés. En voyant sa tête se décomposer je leurs fait signe d'aller dans la cuisine, ils s'installent, nous sommes silencieux, personne n'ose parler.

- quoi cette personne est morte ? 

- non. répond Antonio en relevant la tête vers moi.

- Café ? ils approuvent. 

Je me tourne pour préparer trois cafés, ils me demande si j'ai bien dormi pour changer de sujet mais honnêtement à ce moment, j'en ai rien à faire. En tentant leurs tasses de cafés je vois les documents à sa gauche, sur le plan de travail. Je m'installe en face d'eux et attend pour voir qui va commencer à parler, chacun met du sucres dans leur café avant de se racler la gorge.

- Bon vous allez parler ? 

- C'est un homme d'une cinquantaine mais pas plus.

Il prend la petite pile de document, attrape une fiche avant de me la faire glisser sous mes yeux. L'identité d'un homme et une photo, je lis attentivement et l'écoutant.

- Il a eu entre "guillemet" une affaire avec nous, le soir où Olivia est venu, qu'elle ta suivi. Cet homme, Paul.

- c'est...dis-je tout en écarquillant les yeux en voyant le nom de famille.

- ouais...

- c'est bien le père d'Olivia.

- vu son casier judiciaire ce n'est pas un type bien..

- il y a quoi ? 

- accusé de viol, de violence conjugal, maltraitance et alcool...dit Spencer d'une voix hésitante.

Let me alone in this HellOù les histoires vivent. Découvrez maintenant