𝐷𝑎𝑛𝑑𝑒𝑙𝑖𝑜𝑛𝑠 𖧷 | Reo x Nagi FR

- ✵ 𝐜𝐡𝐚𝐩𝐭𝐞𝐫 𝟏𝟏

ꕥ

TW: ce chapitre contiendra de la violence physique.

Aujourd'hui ça fait 4 mois que Nagi et moi on est ensemble. Je l'aime tellement, je suis vraiment heureux d'être avec lui.

Alors on a prit une décision, on va l'annoncer à mes parents.

Nous y avons longuement réfléchit, car je connais déjà leur avis là dessus.. Mais en leur présentant Nagi, je suis sûr qu'ils vont acceptés malgré tout et que ça se passera bien.

Oh, justement je reçois une notification de lui.

Mon trésor<3
-coucou, j'arrive bientôt mon coeur. je suis qu'à quelques minutes\(^ヮ^)/
Lu à 16:34

Je souris devant sa notification.

Moi
-ça marche ♡︎
Envoyé à 16:35

J'ajusta un peu mes cheveux et quelques minutes plus tard il arriva.

Mes parents n'étaient pas encore là, alors quand je lui ouvrit la porte je le prit directement dans mes bras.

— Tu m'as manqué~! Dis-je alors.

Il me prit dans ses bras également avant de me répondre.

— Toi aussi Reo. Mais on s'est vu hier..

— 24heures entières sans toi c'est long imbécile..

Il ricane et on s'éloigna pour se regarder, avant de s'embrasser.

Je ne me lasserai jamais de ses lèvres, de ses baisers, de lui tout simplement.

On reprit ensuite notre souffle.

— Prêt pour leur dire ? Me dit Nagi.

— Prêt. Dis-je avec un sourire, cachant mon stresse..

— Je t'aime Reo.

— Moi aussi je t'aime Nagi.

Quelques heures plus tard, mes parents arrivèrent à la maison. Ils savaient que j'avais invité quelqu'un, mais ne se doutait pas que ce serait mon petit ami..

Le stress commença à monter encore plus. J'avais réussi à ne plus trop y penser et donc moins stresser grâce à Nagi, mais maintenant qu'ils sont là ça revient..

Je regarda Nagi et il me sourit avant de m'embrasser la joue.

— Tout va bien se passer, je suis là il ne t'arrivera rien.

Il me rassura, sachant ce que mon père me faisait subir parfois.. Je ne pouvais plus lui cacher, Nagi est trop perspicace pour ça. Il voulait appeler les services sociaux mais je lui ai expliqué que dû à leurs hauts placements dans l'entreprise, il suffit qu'ils négocient avec de l'argent et rien ne se passera. Ça empirait juste la situation.

Je me leva alors, et nous allâmes les voir.

— Bonsoir mère, bonsoir père. Leur dis-je en arrivant, tentant toujours de dissimuler mon stress.