Tentation

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⚠️ personne sensible à certaine scène veuillez vous abstenir de lire ⚠️

Je relève la tête et vois ses yeux pétiller.
Un leger sourire se forme sur mon visage j'essaye de le cacher tout en disant.

- Je ne savais pas que je te faisais autant d'effets. Il murmure quelques mots.

- Tu as peut-être raison, je suis peut-être jaloux.

Il regarde mes lèvres qui commence à brûler sous son regard. Il pose sa main gauche sur le plan de travail derrière moi et approche ses lèvres des miennes. Je regarde une dernière fois ses yeux avant de les fermer et de plonger mes lèvres sur les siennes. Il aproche son bassin du mien me coinçant entre lui et le plan de travail, il pose sa main gauche dans mon cou, puis il s'arrête, recule et baisse la tête.

- Je suis désolé, je n'aurais pas du faire ça, je ne sais pas ce qui m'as prit.

Je prends mon verre et le remplit d'eau avant de le boire d'une traite. Je pars chercher mon téléphone dans la chambre, quand je reviens, je vois Sidjil  au téléphone.

- Salut Leila.

- Non, je ne saurais pas venir te chercher.

- Arrête de m'appeler comme ça, oui.

- Non, j'aimerais te parler de quelque chose.

- Oui, salut. Il raccrocha.

- Tu as pas de meuf hein, répondis-je sèchement en me dirigeant vers la porte d'entrée.

- Max...

Je n'attends pas qu'il termine et claque la porte. Je descends les trois étages presque en courant, prends ma voiture et part.

Qu'est-ce qui m'a prit de penser qu'il ressentait la même chose que moi.

L'espoir.

C'est ça, l'espoir, pourquoi je me suis mit à espéré moi, je n'ai jamais rien éspéré dans ma vie, parce qu'à chaque fois que j'espérais, ça tournait mal. Et pour une fois, une putain de fois, j'ai fait confiance à quelqu'un, j'ai fait entièrement confiance à quelqu'un, juste pour ça. Juste pour finir encore moins bien qu'avant, juste pour m'enfoncer encore plus profondément dans la noirceur de ma vie, pour m'empêcher de remonter à la surface, pour m'enlever le peu de lumière qui restait dans mon coeur.

Je rentre dans mon appartement, allume la télé et pars chercher une bouteille de vodka pur. Je me pose sur le canapé, et sans le vouloir, des larmes commence à dévaler mes joues jusqu'à ne plus avoir la capacité de voir les images qui défilent sur la télé.

Fait chier.

Je prends une gorgée de ma boisson puis un deuxième, une troisième, jusqu'à vidée entièrement la bouteille. Je n'arrive plus à me lever ni à garder les yeux ouvert, je m'endors donc sur le canapé dans mon salon.

☆☆☆

Je me reveille avec un mal de tête a m'en faire pêter mon crâne. Je me lève non sans difficulté pour aller chercher un verre d'eau. Après une petite heure mon mal de crâne a diminué.

Je regarde mon téléphone et aperçu une dizaine d'appels manqué de Sidjil. Je met mon téléphone en sourdine et le lance sur mon lit, je prends mes affaires et pars me laver, une fois fait, je prends les clefs de mon appart et sort.

Je marche dans le silence, les yeux rivé sur le trottoir, j'emprunte ce chemin que j'empruntais souvent il y a un mois, je me dririge vers ce parc et me pose sur ce banc, ce banc qui avait connu mes pires et mes meilleurs journées. Ce banc sur lequel j'avais déjà versé mes larmes et rarement mais rires. Ce banc sur lequel je passais des heures à envahir ma tête de ces pensées négatives.

Ça faisait un mois que je n'étais plus venu. Un mois que ces pensées ne m'avait pas frôlé.

Et sous le regard du soleil, des larmes se mirent à couler et une idée me vient, une idée des plus noir, il faux que j'appelle Mathis avant que mon corps ne se mettent à agir tout seul.

Mon téléphone.

J'ai laissé mon téléphone sur mon lit.

Je ferme les yeux, quand je les réouvre, c'était pour passer à l'action. La raison pour laquel j'aime tant ce parc, c'est parce qu'il n'y a personne et qu'il est magnifique, mais aussi parce qu'il y un pont à une hauteur de trois mètres, je pars acheter une sangle à la superette pas loin.

Je reviens, bouge une poubelle pour la mettre en dessous du pont, je monte le pont, accroche la sangle aux bars de fer de la rambarde, redescends et entoure mon cou avec la sangle, sangle que je serre bien fort. Je prends une dernière grande boufée d'air, savourant la dernière fois que mes poumons allaient inspirer de l'oxygène. Mon cerveau essayant une dernière fois de me ramener à la vie m'envoie des images des rares fois ou j'avais été heureux. Des larmes perlèrent le longs de mes yeux avant de s'en aller nourrir l'herbe sous mes pieds.

Et dans un dernier élan, je fait tomber la poubelle qui me tenait entre la vie et la mort.

☆☆☆

J'ouvre les yeux, une grande lumière blanche m'oblige à les refermer.

Je savais que ce serait trop beau de mourrir là-bas, il a fallut que quelqu'un se mêle de mes affaires, encore. Des larmes coulent le longs de mes joues.

Pas des larmes de joies, non, celle du malheur, celles qui disent que ça allait recommencer, encore.

Je réessaye d'ouvrir les yeux, cette fois-ci j'y parvient, et comme je le pensais, je me trouve dans un lit d'hopital.

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Chapitre haut en émotions et en larmes, j'espère qu'il vous à quand même plus.

Je ne l'ai pas tué contrairement à la moitié des fanfics. J'espère que vous en êtes reconnaissant.

Bonne soirée/journée

Ton Coeur, À JamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant