Un nouveau couple

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Ça fait une heure qu'on est dans son lit, ma tête poser contre son torse. On discute de tout et de rien et puis Sidjil me pose cette question dont pour moi la réponse était assez clair.

- Max, est-ce que on sort ensemble, je veux dire est-ce que on est en...couple.

- Bah oui, tu veux qu'on soit quoi d'autre, lui dis-je avec un sourire qu'il me rend avant de m'embrasser sur le front.

- Maxime Biaggi, je t'aime et t'aimerais toute ma vie.

- Sidjil, je t'aimais il y a déjà des mois et ce pour toujours, répondis-je avant de l'embrasser.

Il me serre dans ses bras pendant quelques minutes avant de relacher son emprise. Je regarde mon téléphone et voit un message de Mathis.

Mathis🤪

- C'est quand que tu reviens là, faut que je te surveille moi.

Je ne répond pas et regarde Sidjil avant de soupirer légèrement.

- Sid, il faut que je retourne chez Mathis. Il m'enlace à nouveau avant de se lever, s'habiller et de me tirer hors du lit.

- Allez alors, debout Maxou.

- J'ai pas envie.

- Moi non plus mais si tu y vas maintenant il te laissera sortir de nouveau alors que si tu es en retard d'une heure il ne voudra plus, alors debout mini Maxou.

- Je suis pas petit, c'est toi qui est grand, répondis-je en sautant du lit pour lui taper le torse. Il rie à ma tentative désespéré et me laisse m'habiller.

Quand j'arrive à la cuisine, je voit l'amour de ma vie en train de prendre un café, quand il me voit, il pose son téléphone et me fait un grand sourire. Je vient m'asseoir à côté de lui et il entoure mes épaules de son bras gauche. Il loge sa tête dans mon cou.

- Maxime, je crois que je ne vais pas pouvoir te laisser partir.

- Tu es pire qu'un gosse, lui dis-je en frottant ses cheveux.

Il expire longuement, relève la tête, bu son café et me regarde. Il m'embrasse avant de se lever et de prendre ses clefs. Je me lève à mon tour et le suis.

Nous montons dans la voiture et direction chez Mathis.

Pendant le trajet, nous rions et écoutons de la musique. Une fois arrivé. Sid éteint le moteur et regarde droit devant lui.

- Ça va Sid ?

- Non, je ne vais pas pouvoir te laisser partir. C'est impossible.

- Tu veux venir avec moi ?

- Parce que tu voulais me laisser repartir sans être rentrer deux minutes. Je rit à son air dramatique et il me sourit.

J'enlève ma ceinture et ouvre la portière. Sid me prends la main, je me retourne et il m'embrasse.

- Je t'aime

- Moi aussi je t'aime Sid. Je descends et il fait de même.

Nous montons jusqu'à l'appart de Mathis, je déverouille la porte et entre suivit de Sid. Je part voir si Mathis était dans sa chambre pendant que Sid fait le tour des pièces.

J'ouvre la chambre et la referme aussi vite. J'entends Mathis et Nicolas rigoler derrière celle-ci. Je redescends au salon et me pose sur le canapé après avoir prit un verre d'eau.

Sid se joint à moi et une idée me vient.

- Sid, tu peux appellé Nicolas ?

- Pourquoi ?

- Juste comme ça.

Sidjil me dévisage avant de faire ce que je lui dit. Il commence à appeller et on entends un téléphone sonner à l'étage. Sid me regarde d'abord surpris puis un sourire se pose sur ses lèvres. Nicolas décroche.

- Salut, ça va mon frère ?

- Ça va et toi ?

- Ça va, pourquoi tu m'appelle ?

- Tu t'amuses bien ?

- Pourquoi tu demande ça ?

- Il me semblait que travaillait aujourd'hui.

- Ha heu, ouais ça va j'ai bientôt finit y a pleins de moment incr tu vas voir.

- Ha ok, ba cool alors je te laisse terminer tranquille.

- Ouais tchao. Il raccroche.

Sid me regarde, lutant pour ne pas éclater de rire. On entends du bruit en haut et Sid décide de s'assoir à la cuisine.

Je voit Nicolas descendre et le salue, il fait de même avant d'aller vers la cuisine pour aller se chercher à boire, il tourne sa tête vers la pièce convoité et stoppe tout mouvements, il tourne sa tête vers moi et je me met à rire avec Sid. Après quelques secondes Nicolas rie avec nous et j'entends Mathis arrivé.

- Tu aurais pu me le dire que tu le ramenait, fait Mathis avec un sourire.

- C'était plus drôle comme ça, repondis-je en me remettant de mon fou rire. Il aquiesce et après quelques minutes nous étions tous posé dans le canapé avec des ships et un film.

Il était dix-sept heures quand Sid et Nicolas repartirent.

- Content de voir que ça avance, dis-je à Mathis.

- Je peux dire la même chose.

- Ça fait combien de temps que tu me cache ça.

- Un peu avant que tu ne rentre à l'hopital, toi je suppose que ça dure depuis aujourd'hui midi ?

- Onze heures pour être précis, dis-je fièrement, ce qui fait rire mon ami.

Nous continuons de bavarder sur nos relations de coeur jusqu'à tard, nous soupons puis partons dormir.

Ton Coeur, À JamaisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant