Bloom et Béatrix Mikaelson [RÉÉCRITURE]

Nouvelle-Orléans, nous voilà

Point de vu de Béatrix :

Riven est assis à côté de moi, Dieu merci il ne m'a pas parler depuis que nous sommes partis. Il est sur son téléphone.

J'ignore se qu'il fait et sa ne m'intéresse pas. J'ai autre chose en tête pour le moment.

Revoir ma famille, essayer de faire comme si tout allait bien alors que non. C'est impossible.

Comment allons-nous expliquer à notre famille que nous ne sommes pas les filles de Mikael ? A la seconde où notre mémoire est revenu, j'ai tout de suite compris que Mikael n'était pas mon père.

Cela ne devrai pas leur causer de tord, ils ne vont pas nous abandonner ou nous rejeter et faire comme si nous étions rien.

Niklaus n'est pas le fils de Mikael, et pourtant il est toujours là et nous faisons comme si il était notre frère. Parce que c'est se qu'il est.

- tu pense à quoi ? Me demande Riven.

Je me tourne vers lui et l'interroge du regard.

- qu'est-ce qui te fait dire ça ?

- tu a l'air de penser à quelque chose. Qu'est-ce que s'est ?

Riven ne sait rien à propos de moi et de mon histoire, parce qu'il n'a pas besoin de le savoir. On est pas vraiment amis lui et moi. On s'entend bien, c'est déjà ça.

- c'est compliqué. Je dis en détourant le regard.

- tu a de la chance, j'adore se qui est compliquée. Dit-il en souriant ironiquement.

Je secoue la tête en riant.

- j'ignore si je peut t'en parle. Je lui confie.

- tu peut me faire confiance.

- se n'est pas ça le problème, c'est juste que ma vie est bien trop compliquée a comprendre. J'ai encore du mal a tout comprendre.

- sa a un rapport avec se que je t'ai dit l'autre jour ? Dit Riven.

- non, se n'est pas par rapport à nous.

Il affiche un sourire en coin, un regard de défie. Je fronce les sourcils et essaye de comprendre se qu'il a.

- pourquoi tu sourit ainsi ? Je demande.

- on est « nous » maintenant ? Me dit Riven, un brin de malice dans la voix.

Je lève les yeux au ciel, il joue sur les mots. Je n'ai pas dit ça dans se sens la, j'ai dit ça dans le sens « nous » dans sa globalité. Notre "amitié".

Mon téléphone vibre dans mon sac, je le sort et voit un message de... Marcel ?! Je saute presque sur mon siège et ouvre mon téléphone.

De Marcel :

- vous êtes là dans combien de temps ?

Il sait que nous venons ?

A Marcel :

- tu sais qu'on viens ? Comment ? C'est toi qui a envoyer cette lettre ?

Je fronce les sourcils et me tourne vers ma soeur, elle dort sur l'épaule de Sky et lui aussi il dort sur elle. Ils sont mignons.

J'aperçois Stella sourire en les voyant. Elle semble heureuse de les voir ensemble. Elle semble détendu. Son cœur bat normalement, elle ne ressens pas de colère.

Lorsque nous sommes en colère, notre cœur bat plus vite.

De Marcel :