T☯︎kyo Race / Tom Kaulitz /

Prologue

La course allait commencer, nos quatre voitures attendaient patiemment devant la ligne de départ.
J'étais à la fois anxieux, à la fois excité par l'arrivé du gang de Tokyo, nos adversaires les plus redoutables.
Je ne l'es apprécies pas, je leur ai proposé de venir pour qu'ils aient une vue sur quoi s'attendre, dans quelques mois, lors de la grande course de Tokyo, qui est très importante pour nous.
Nous, le gang de Berlin, voulons emportés le statut de « Maître de Tokyo » ; lorsque nous sommes maîtres d'une capitale, elle nous appartient...
Heureusement que notre métropole est calme ce soir, nous ne voulons pas être déranger pour écraser nos adversaires.

- Tom ? dit Bill en brisant le silence.

- Quoi ? grognais-je agacé sous un regard noir.

- Ils arrivent quand ? répond-il, en colère à cause de leur prévisible retard.

- Dans quinze minutes. Tu veux faire un tour ? proposais-je à mon jumeau.

- S'il te plaît. J'ai besoin de me détendre, me répond-il en soupirant.

- Allons-y. dit il en se hissant dans sa belle voiture d'un rouge vif.

Je rentrais dans me voiture noire et fit grogner le moteur.

Il fit de même et j'ai indiqué le départ en comptant à rebours de trois.

Nous enfonçâmes nos pédales d'accélérateurs après celui-ci, et fonçaient vers la ligne d'arrivée à toute vitesse.

Un tour de nos circuit durait cinq minutes, pleine de virages, de dérapages, etc.

Perdu dans mes pensées, je me fis dépasser par Bill, je le vis à travers la fenêtre, dégageant un air fier.

Je lui afficha un sourire en coin avant de le perdre de vue derrière un virage.

Je donnais un coup d'accélérateur soudain et tentais de lui passer devant.
Je loupa une première fois mais, lors de la deuxième, j'effectuais un virage serré qui m'a permis de lui passer sous le nez, ressentant de le fierté envers moi-même.

Ce jeu de chat et de souris durait pendant plusieurs minutes, nous avions fait deux tours, jusqu'à qu'une lumière de phare nous alerte, via derrière nous.

Ils étaient arrivés, le gang de Tokyo ; les Shoguns.                                                                             

Ils étaient quatre, comme nous. J'appelais le reste de notre gang : Gustav et Georg, à nous rejoindre pour notre course contre ces blaireaux.

- Les autres ne sont pas là ? demande leur chef en parlant de amis.

- Si, ils arrivent dans quelques minutes, dis-je froidement.

- Vous n'avez pas amener de nanas ? ricana-il. 

- Elles sont avec les autres. Ai-je le temps de dire avant de les voir à nos côtés.               

- Elles sont magnifique, je te l'es achète, me propose-il en parlant des petites amies du gang.

- Sans façon, trouve-toi tes poufs, riais-je.

- Salut les Shoguns, ça va depuis votre dernière défaite ? incruste Gustav dans la conversation.

- Ça va, ça remonte, on a évoluer depuis le temps, répond une autre membre du groupe.

- Nous aussi, vous n'êtes pas près, ris Georg.

- On va voir ça ! Dit le chef en montant dans sa voiture.

Nous montâmes tous et nos adversaires avançaient vers la ligne de départ, ma soi-disant, « moitié », se mit à mes côtés, sur le siège passager.