T☯︎kyo Race / Tom Kaulitz /

New life ?

/ point de vue de Harper /

Je n'ai pas pu dormir de la nuit, je n'aurais pas imaginer que cette vie pouvait être si horrible : mon « copain », ma maison, ce bar, mais aussi, cette « maison ».

Les volets sont toujours fermés ; les hommes, pas très discrets, qui m'ont suivis après être rentrée hier, en rentrant du travail, je l'es recroises souvent.

« Travail ». Je pensais juste servir mais les hommes demandent souvent des faveurs, quand on effectue parfaitement ce qu'ils nous demandent à boire ou à manger.
Elles sont ... Spéciales ? Répugnant.

Taylor m'avait demander de leur obéir, je comprend mieux pourquoi. Il peut rêver.

- Ce soir tu travailleras jusqu'à plus tard, m'ordonne t'il en m'expulsant de mes pensées.

- Et pourquoi ? lui demandais en croisant les bras.

- Parce que je te le demande, alors tu m'obéis, répond t'il.

C'est vraiment le contraire de Tom, enfin, je pense.

- Quelle heure ? grognais-je.

- Quatre heures du matin, souriait-il narquois.

- Je t'ai mis une robe dans la salle de bain, tu tacheras de la mettre, continuait-il.

J'acquiesçais à contre cœur, et filais sous la douche.

C'était l'unique moment où personne ne me surveiller, où je ne me sentais pas observée, ou dérangée.

Malgré ça, l'ambiance restait macabre, alors je sortais, afin de me précipiter à ce que l'air frais et sécurisant me frappe au visage.

Je m'habillais des vêtements qu'il avait choisi : une courte robe, moulante, et écarlate.

Je fis alors un maquillage associé, me coiffais, puis, allais le voir.

- Je commence quand ? lui demandais-je.

- Dans deux heures.

Le silence régnait désormais ...
Alors je pris mon courage à deux mains et repris la parole.

- Putain c'est fou ! m'écriais-je.

- De quoi donc ? me demandait-il.

- Le fait que vous pensiez que j'allais être dupe à ce point, continuais-je.

/ point de vue de Taylor /

Je fis mine de ne pas comprendre, j'espère qu'elle va se rendre compte que, malgré tout, elle m'appartient maintenant, pour toujours.

- Explique toi, lui demandais-je.

- Vous me mentez de puis le début, toi, le médecin, et vous pensiez que je m'en étais pas rendue compte ? ricanais-je.

Elle me regardais fixement dans le blanc des yeux et sourait. Quand elle voulait, elle pouvait être si intimidante.

- Alors ? Tu me ramène quand pour voir Tom, Bill, Gustav et Georg ? Hein ? C'est pour quand ? m'interroge t'elle.

Elle m'énerve. J'essaye une autre technique.

/ point de vue de Harper /

Après cette phrase, son expression faciale, qui ne changeait jamais, changea.

- Tu as tellement changée ... Depuis ton coma, tu n'es plus la même ... pleurnichais-je misérablement.

- Mohh. Pauvre bichon. Tu vas pas pleurer si ? lui demandais-je d'une moue attristée.

Ses yeux s'humidifiaient réellement, une légère satisfaction se fît sentir en moi.
De petites larmes roulaient le long de ses joues, laissant des traces le long de leurs courses.

- Ah si, petit bibi est entrain de chialer, continue t'elle.

- Si seulement tu pouvais être comme avant ... marmonnait-il.

- Tu sais quoi bibi ? lui demandais-je.

Il leva la tête afin de me regarder dans les yeux, avec un air de chien battu.

- Si seulement j'étais restée dans ce foutu coma ! Si seulement je ne m'étais pas réveillée ! lui criais-je énervée.

Il partait sans rien dire. Un pincement frôla mon cœur, lui passant au dessus. Je m'en foutais, complètement.

***

Je partis en direction du bar, jusqu'à ce que je remarquais deux hommes derrière moi.

Discret comme ils sont, je reconnu de suite les hommes de Taylor.
Vraiment plus de vie sociale, le déni.

- Je monte en haut l'a surveillée, dit un grand brun lorsque je me suis rapproché pour pouvoir l'entendre.

Sympa le pléonasme, ils ont zappé l'école ou bien ?

Ils firent leurs affaires et j'arrivais au bar.

- Bonjour Harper, commencez avec la table sept, m'ordonne mon boss.

Je commençais à servir lorsqu'un homme, le premier de la soirée, me « demande ».

- Je refuse, désolé, m'excusais-je en partant.

Il me pris par le bras et me dirigea de force.
Je me débattais comme je le pouvais mais il m'emmena dans une pièce parmi quelques unes.

Elles étaient dotées d'une table ainsi que deux chaise, et un lit.

Il me plaqua contre le mur à côté de la table, malgré que je me débattais.
Mais à force, je m'épuisais, et il en profitait.

Par chance, il me restait un peu de souffle.
Je saisis une bouteille de champagne, qui était, à notre disposition, et lui mis un coup dans le ventre, plutôt bien placé.

Il se tordait de douleur mais agrippait les jambes.
Alors je lui éclatais le contenant en verre sur le crâne. Il s'écroula au sol, m'entraînant dans sa chute.
J'aperçus un poignard dans sa poche, mais également, qu'il n'était pas complètement inconscient.

Je tentais de saisir l'arme mais je sentais une vive douleur de répandre depuis mon bas de ventre.

Il appuyait de toutes ses forces sur des points de suture provenant d'une blessure inconnue sûrement lors de la course ...

Je l'es sentais se découdre sur ma peau.
Je criais d'agonie. J'avais si mal, mais il ne restait plus qu'une chose à faire : FUIR.

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Coucou vous !

J'aime bien la scène de combat.

Bisous, prenez soin de vous,

Isis.

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