T☯︎kyo Race / Tom Kaulitz /

As we meet again, Harper.

Il démarra et je pris le volant à mon tour, pour le rejoindre dans la nuit.

Harper, Harper...
Je te gagnerais, la prochaine fois...

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Je suivais Bill, dans les rues sombres et silencieuses de Berlin.

J'étais perdu dans mes pensées, la date de la course qui avançait à grand pas, es ce que j'allais y arriver?
Il faut que je m'entraîne, je dois être à la hauteur.

Et puis, Harper...
Depuis qu'elle est partie a Tokio durant notre douce enfance, je ne la vois que quelques fois par ans.
Elle ne peux pas abandonner son gang.

Nous arrivons bientôt à l'hôtel, Bill était partis de son côté.
J'allais pouvoir me reposer, car demain, j'allais m'organiser pour la course,
Il faut à tout prix que je gagne.
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              / point de vue de Harper /

Ma voiture et celle de notre gang se dispachaient dans les rues, j'avais hâte d'arriver à l'hôtel pour me poser.

J'étais fatiguée aujourd'hui, j'avais fait de la route, pour venir en Allemagne une semaine.
Mais le trajet, plus la course, ça m'a crevé.
  Le reste des Shoguns était dans un autre hôtel, et à vrai dire, sa m'arrangeais.              
                                ***

Il fallait que je me prépare mentalement pour la course, il y aura beaucoup de monde, beaucoup d'autre participants qu'ils veulent prendre notre place : en tant que « maître de Tokyo ».
Kaulitz est tellement déterminé à avoir se titre qu'il serait prêt à tout, je le connais assez pour savoir ça.

Il va falloir être rude, je vais essayer d'élaborer des stratégies.
Bon, sûrement pas se soir, je suis trop fatiguée, mais il faut que je le fasse.

Tellement plongé dans mes pensées, j'étais déjà bientôt arrivée.
J'étais entrain de suivre la route sans réfléchir, j'ai tellement habiter ici que je connais toute les routes par cœur.

Au loin, je reconnue la voiture de Tom, je lui passait devant, lui addressant un sourire en coin, il me le rendais en mettant sa voiture à ma gauche.
Il baissa sa vitre.

- Comme on se retrouve, Harper. dit il, ses yeux bruns plongés dans les miens.

- Je commence à pensé que tu me suis, dis je en ricanant.

- Peut être bien, dit il avec assurance.

- Hm, bref. dis je en le dépassant.

J'entendis une pointe de ricanement avant qu'ils ne se fassent silencieux : je m'éloignais de plus en plus. 

J'avançais vers l'hôtel, mais remarquais qu'il le suivait encore.

Je freinais pour l'avoir à côté.

- Tu me suis vraiment ou je rêve? dis je en levant le sourcil

- Non, on va juste au même hôtel, tu ne m'as pas croisé? dit il, à moitié concentrer sur la route.

- Tu as eu le temps de me croiser en une après-midi? dis je un peu étonnée.

- La chance à fait que oui.
Ou le destin, dit il en riant.

- La chance je suppose, dis je en souriant avant que l'on passe le virage menant au parking de l'hôtel.

Nous nous garons côte à côte et il s'approchait de moi.