Chapitre douxième

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Je ne sais pas comment faire alors je laisse le total contrôle à M. Kim.

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Ses mains descendent et me ramènent contre lui. Il fait passer mes genoux de chaque côté de ses cuisses et intensifie encore un peu plus le baiser. Dans mon ventre, j'ai l'impression que les papillons qui volent ne vont pas s'arrêter et vont continuer de le torturer agréablement. 

Nos lèvres se séparent quelques secondes avant de revenir se rencontrer à nouveau. 

J'ai envie de pleurer de joie tant c'est beau. 

(N.D. A : dans ma tête, les gars, ça rend trop bien, ce baiser) 

Ses lèvres charnues sont douces et se mêlent parfaitement aux miennes, comme si elles étaient faites les unes pour les autres. 

Sur M. Kim, je vibre tant les sensations sont fortes, pire que dans des attractions. Il est même obligé de presser ma taille pour me calmer même si son toucher me procure bien le contraire et m'enflamme encore un peu plus. 

— Qu'est-ce que... tu as... ? me demande-t-il, la respiration saccadée. 

— C'est... de votre... faute...

— Quoi ? pouffe-t-il.

Sa main caresse tendrement mon visage pendant qu'un sourire se dessine sur le sien. 

La voiture s'arrête brusquement ; le haut de ma poitrine heurte la tête de M. Kim lorsque mon corps est poussé en avant par la force des choses. 

— Ah ! fais-je, surprise.

— Tu dors chez moi ? me propose-t-il.

Un frisson descend le long de ma nuque et parcourt tout mon épiderme jusqu'au bout de mes doigts de pieds. 

— N-non, ma mère est en repos aujourd'hui, je lui avais dit que je passerais la matinée avec elle avant d'aller au travail.

— Tu es sûre... ? s'assure-t-il en rapprochant ses lèvres des miennes.

De sa grande main, il saisit l'arrière de mon crâne et l'approche du sien. Il souffle sur mes lippes, doucement, comme pour me convaincre de passer la nuit avec lui. 

— Ou-oui... dis-je, au bout de l'asphyxie.

N'en pouvant plus, j'écrase mes lèvres contre les siennes, à nouveau. Et je peux les sentir s'étirer à travers notre baiser. Ses mains se glissent dans mes cheveux et détachent la queue de cheval que j'avais pris soin de nouer avant d'assurer le service. Il ruine ma coiffure en un temps record avant de me faire basculer sur la banquette, lui se retrouvant au-dessus de moi. 

Ses douces lippes sucrées se déposent dans mon cou ce qui me fait vibrer, encore une fois. Il y dépose des baisers humides où à chaque fois, je ne peux m'empêcher de gigoter tant les papillons dans mon ventre me font agréablement mal. 

Sa bouche revient au contact de la mienne et je sens une de ses mains glisser lentement le long de mon buste avant de venir sortir mon débardeur de mon pantalon. Le bout de ses doigts caresse mon ventre ce qui me fait lâcher un soupir d'aise. Puis la voiture s'arrête et le moteur se coupe.

— Dommage... On va devoir s'arrêter là... Nous sommes arrivés. 

Je grimace, déçue.

— Ne t'inquiète pas, on va se voir demain. 

À votre service M. Kim | Kim Taehyung | TERMINÉEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant