n'insiste pas

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Je n'entendais que cette phrase.

"je vais être papa".

Sortir, de la bouche de l'homme, que je n'aime plus. J'arrive pas à croire que mon monde est en train de tout s'écrouler. Et Naruto dans tout ça ?

Il se leva et s'approcha de Taiyo en lui souhaitant félicitation, avant de venir vers moi. Attirant les yeux des curieux.

-" félicitations.. dit il en me souriant. Je suis sûr, et même certain, que tu feras une mère formidable.

Je voyais de la tristesse dans ses yeux, il était détruit, pourtant, il a fait l'effort de se lever pour venir nous féliciter.

Taiyo se retourne et me prend dans ses bras em'embrassant heureux de la nouvelle, alors que je voyais le dos de Naruto s'éloigner pour se réfugier à quelque par dans cette maison.

-" tu viens de me rendre le plus heureux des hommes !"

Il m'embrassait plusieurs fois avant de me serrer contre lui.

j'était si mal à l'aise, et le monde ne remarquais rien.

Trop perdu dans la joie de vive, je suis seule avec mes démons.

Personne ne va venir m'aider, je refais ma vie complètement. Je suis en train de tourner la dernière page de notre histoire d'amour.

Et le voir s'échapper entre les doigts.

Je ne devrais pas ressentir ses sentiments. Je devrais le haïr pour tout ce qu'il m'a fait, à moi, et notre bébé.

Mais je ne peux pas, je n'y peux simplement rien.

Je l'aime, je l'aime tellement que mes sentiments puissent me tuer à petit feu, je commence à brûler alors que mes doigts sont en train de glisser dans l'huile.

Je sais que Taiyo est quelqu'un de bien.

Mais ce n'est pas l'homme avec qui je veux être.

Peut-être avant.

Ou plutôt, avant de me rendre compte que je ne l'aimais plus.

Et cette grossesse m'emprisonne, elle est en train de m'étouffer.

Et je préfère avoir évité cela, comment puis-je faire pour m'en sortir ?

Je peux plus rester dans cette maison.

Je prends mon manteau et je regarde autour de moi voyant que personne ne faisait attention à moi. La joie régnait sur chaque visage dans cette maison.

Même si l'heure indiquait trois heures du matin.

C'était comme si on était peu tard dans la soirée.

Je traverse cette porte en portant, mes bottes et mon manteau pour venir combattre ce violent vent glacial de cette hiver.

Mes poumons commençaient à prendre feu à l'intérieur, et même à ce froid. Cela ne règlais pas mon plus grand soucis.

-" je vois que tu es dans tes pensers."

Je sursaute en me croyant seule, quand je me tourne vers la droite, je peux voir l'ombre d'un homme que je connaissais que trop bien.

- "si justement.

- qu'est-ce qui ne vas pas ? Commencant a s'inquièter.

- non je vais bien, si je- en commençant à sentir se poid lourd sur mes épaules. C'e-c'est toute cette histoire, je ne sais même plus comment réfléchir.

- Réfléchir ? Je croyais que c'était quelque chose que tu désirais ?

- Tu as raison, c'est vrai, mais j'aurais aimé que ce soit avec la bonne personne.