XXXVI

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Deux semaines, qu'Itadori Yuji n'a pas été vue. Utahime Gojo Iori, dans son pantalon gris et son blaser assortie, marche dans ce qui semble être la tanière du loup. Comme si on l'attendait déjà, tous les hommes présents ne font aucun geste et la laisse passer.

Elle s'arrête devant une grande porte mélanique qui s'ouvre dans un grincement infernal, la première chose qu'elle voit est le sourire hideux de Geto Suguru. Elle marche vers lui en faisant claquer ses talons sur le carrelage.

" Utahime-san, je t'attendais  "

" Relâches Yuji "

Geto hausse les sourcils, la bouche ouverte, l'homme à ses côtés fait pareil, Utahime fronce les sourcils. Le noiraud met plusieurs secondes avant d'appliquer à nouveaux sa mine neutre et elle comprend.Une erreur. Il sourit.

" Contre Satoru ? "

Il bluffe, elle en est certaine maintenant. Elle a fait une grosse erreur en venant précipitamment même si elle est déjà préparée.

" Non, mais je peux te donner quelque chose que tu désires plus que tout "

" Il est ce que je désires plus que tout "

" Alors nous ne pouvons pas faire affaire "

Elle se retourne prête à partir mais croise un gorille.

" Tu nous quitte déjà ? "

Elle est retournée de force, mais par égo, sourit fier d'elle. Comme toute femme, elle est préparée à n'importe quelle situation. Elle déboutonne doucement son blaser, Geto regarde, attendant le fin mot de cet acte. Il écarquille les yeux en voyant, ce qui est scotché à son ventre.

" Alors, Geto on a peur ?. Si tu me tires dessus, même sans me tuer, elle explose "

" Tu bluffes "

" Tu sais mieux que moi, qu'une blessure par balle accélère le pouls et la détente se fie aux battements de mon cœur, battements rapides égale à explosion. J'espère que t'as remarqué que c'est celle que t'as construite, tu te souviens du nom que tu lui avait donné ? Si tu ne me crois pas essaies "

L'homme la tenant s'éloigne, personne ne bouge, elle se retourne en reboutonnant son haut et sort. Précipitamment elle se dirige vers sa voiture, maintenant elle sait que Geto est toujours fou de Satoru mais pas au point de risquer sa vie, mais il n'est plus le problème contrairement à Ryomen Sukuna.

Ø

Ils se regardent dans le blanc des yeux, il sait qu'elle sait et elle sait qu'il sait qu'elle sait.

"  Tu m'as menti "

" C'est un traître "

Ryomen Sukuna n'est pas du genre  à tourner autour du pot quand il sait qu'il n'y a rien à faire. Mais cette réponse tellement sérieuse fait froncer les sourcils à la noiraude.

" Ce n'est pas vrai, tu penses vraiment que je te l'aurais recommandé si il était un traître ? "

" Tu peux pas savoir et comment t'as su ? "

Bras droit d'un demonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant