XXXIV

207 14 3
                                    

🧋

" Je me fiche de ton histoire de sécurité. "

" Tu veux pas continuer à promener tes jolies pet....jolies fesses paisiblement dehors ? , elles ne sont pas petites. "

Utahime était déjà passé à autre chose suivant son programme Novelas, il mit sa veste en soupirant et prit le sac contenant le dispositif, il comptait faire une balade romantique mais bon....
Après quelques longues minutes de marche, Satoru se demanda pourquoi il n'avait pas prit sa voiture.
C'est fatigué et essoufflé, qu'il arrive au portail. Quant il l'ouvre, un couinement l'interpelle, à trois mètres d'où il se trouve, une fille est roulée en boule.

Le grisonnant s'approche et la secoue, elle recule furtivement en position de défense.

" Calme, qu'est-ce que tu fais ici ? "

" Rien, je viens juste dormir "

Il la regarda un bon moment, elle avait l'air d'un sans abris, il ne voyait pas son visage, mais elle devait avoir au plus dix huit ans.

" Viens avec moi "

Elle hésita longuement, mais se leva en le suivant. Elle le suivait, oui, mais Gojo avait vu ce qui semblait être un couteau dans les poches de son sweet, soit elle le gardait au cas où, soit elle voulait l'attaquer.

La jeune fille regardai partout autour d'elle, à part des lampadaires sur le chemin en pavés lisse, rien à l'horizon. Ils marchèrent longtemps, assez longtemps pour qu'elle croit qu'il allait lui faire du mal. Elle serra le couteau dans sa main quand une silhouette inconnue commença à se dessiner, plus ils s'approchaient plus elle ralentissait mettant de la distance entre elle et le grisonnant. De plus en plus proche la silhouette devenait progressivement féminine et Gojo parla;

" T'aurais pu prendre la voiture "

" T'aurais pu prendre la voiture "

La noiraude avait marché, constatent qu'il était long.
Elle remarque la jeune fille, sale et maigre derrière lui. Elle lui sourit en s'approchant d'elle, son mari fait barrière entre eux, lui a du cœur mais n'est pas aussi naïf que sa femme, qui a remarqué le couteau mais qui veut avancer quand même.

" C'est quoi ton nom ? "

" Riko Amanai "

" Qu'est ce que tu fais ici ? "

" Dormir "

Répond Gojo.

" Satoru, je m'adresse pas à toi "

Il fait la moue en croisant les bras, se mettant même de dos aux deux jeunes femmes, Riko se demandait si c'était vraiment un adulte.

" Comme il a dit "

Ø

De toute sa vie, elle n'avait jamais vu un tel manoir; jamais ses cheveux n'ont été aussi soyeux et ils n'ont jamais eut cette odeur de pêche vanillée; sa peau n'avait jamais connu autant de soin et aujourd'hui depuis des mois elle mange à sa faim, un repas délicieux dans un beau manoir. Mais le plus important, elle n'avais jamais vu autant de luxe dans un seul endroit et le couple était vraiment modeste avec elle. Même si elle n'arrive pas à savoir ou
l'homme de cette maison, trouvait des questions aussi bêtes : Si on nous mélangeait aux Coréens, est-ce qu'on pourrait se retrouver ? Et les chinois et les vietnamiens ?

Bras droit d'un demonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant