XLIX

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🦫

Entourant de ses bras les hanches de sa femme, Satoru sourit fier de son habillement et surtout de pouvoir la nommer sienne.

Ils sonnèrent à la porte de Sukuna et ce dernier ouvrit.

" Elle est à moi !. "

Les deux parentés de sang, se regardent et roulent des yeux simultanément. Ils entrèrent et la noiraude dépassa tous les hommes habillés en serveurs et alla câliner le rosé avant de serrer la jeune femme. Ils montèrent sur la terrasse, réorganisée pour un -genre- de soirée. La jeune femme noire descendit pour rejoindre Yuji dehors, l'imitant elle s'assit à même le sol sous les yeux noisettes qui lui intimaient que c'était du gâchis.

" Itadori, recommençons notre rencontre, si tu veux bien. "

Il releva la tête pour la regarder un bref instant et se redressa en hochant la tête.

" Sandra Stayne, une vieille et seulement amie de Ryomen. Il m'a dit qu'il t'a déjà parlé de moi, je suis la personne qui peut lire l'aura. C'est légèrement au dessus de cela, mais bon.... "

" Itadori Yuji, um....et c'est tout. "

" Tu sais que c'est l'histoire de Ryomen qui est racontée par lui-même dans les Chroniques du déchu ? Le rosé écarquille les yeux. Ce n'est qu'après publication qu'il l'a lue, ça.....l'a en quelque sorte boulversé, il ne savait pas que sa vie a été aussi sombre."

C'était donc pour cela qu'il lui a interdit de le lire ici. Mais la jeune femme n'était jamais entrée dans sa chambre - de ce qu'il sait - et il n'a jamais lu le livre devant elle. Comment savait-elle qu'il lisait ce livre ?. La réponse était évidente : son supérieur.
Elle pouvait bien répéter qu'ils n'étaient qu'«amis», une vraie alchimie existait entre eux, ils étaient proches.

" Je vous vois bien ensemble. "

À cette phrase, Yuji sursauta doucement. Des regards affolés de gauches à droites, pour s'assurer que personne n'avait entendu ça.

" Qu'est ce que vous racontez ?! Il est.... "

" Ton supérieur ? Est-ce la seule barrière ?. Aucun problème Itadori, je suis là pour lier vos destins. Je l'ai vu. "

Elle est pas bien, pensa t'il. Pourtant quand il l'a regardait elle était plus rationnelle que le mot lui-même. Elle se leva et défroissa sa robe moulante.

" Tu viens ?. "

" Um non, il ne m'a pas dit que je pouvait m'incruster, alors je vais chez mes amis. "

Sukuna gardait ces choses là pour lui comme si son subordonné pouvait lire dans ses pensées. Elle soupira puis hocha la tête dans un sourire.

Yuji se permit de se détendre à son sujet : elle n'était pas odieuse. Seul, lui se faisait des films alors qu'il ne sortait même pas avec son patron. Il aurait vraiment dû refuser ce travail, mais maintenant comment le quitter ?.

Ø

" Je suis tellement contente de te revoir, Sandra. "

Bras droit d'un demonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant