XLIV

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🌙

Satoru est planté devant la porte d'Utahima, pourquoi était-il si stressé, c'était juste une rencontre uniquement professionnelle. Rien de plus, rien de moins.
Nan......ce raisonnement ne fonctionne pas, il n'a pas de fleurs, pas d'habillements séduisant, même pas de chocolats. Il est là, les bras ballants devant la porte de sa maison, il était venu quelques fois pendant leur courte relation avant qu'il ne l'épouse.
La porte s'ouvre et la noiraude a les sourcils froncés.

" On sonne généralement, Satoru. "

Satoru. Son prénom sonnait tellement bien entre ses magnifiques lèvres rosies à la fois fines et pulpeuses. Ah...voilà, il était devenu fou. Elle se décale et il entra. La maison sentait comme elle, il esquissa un sourire.
Le grisonnant s'assit devant ce qu'il identifiait comme le dossier et commença à le lire sans qu'on lui demande. Il n'était pas un enfant à qui on disait fait ci fait ça. Utahime avait déjà relevé les points où ils ne s'entendront pas et lui devait utilisé les propriétés de l'entreprise pour rectifier.

" On mange dans vingt minutes. "

Il dû retenir son ventre de gargouiller. Ça faisait des jours qu'il n'avait pas manger autre que des chocolats. Il tourne la tête vers elle et son cœur accélère d'un coup. Ses cheveux sont attachés en un chignon négligé, elle est vêtue d'un simple short large - que ses rondeurs remplissent parfaitement - ainsi qu'un pull blanc. Parfaite.
Il retourne à ses papiers avant que cette vue ne fasse dégât.

Vingt minutes plus tard, le repas était prêt et lui avait fini de rédiger à la main la demande pour revoir leur condition. Il les connaissait, il avait écrit tout point pour qu'il soit en accord avec eux.
La jeune femme le servit et s'assit en face de lui.

" Tu te laisse aller, Satoru. "

Et c'est ce qui l'excite. Des veines recouvraient ses avant bras dévoilés par sa chemise bleue claire dont les premiers boutons sont ouverts, son poignet droit est orné d'une Rolex qui peut racheter dix fois sa maison, une barbe de deux jours recouvre son visage. Sexy.

" C'est parce que tu t'occupes plus de moi. "

" Mei Mei peut le faire. "

" Oh oui, elle me lâche plus, en plus d'être riche, je suis doué dans un certain sport qui mérite d'aller au jeu olympique. "

" Juste l'inter région. "

Il fait la moue et s'enfonce dans le canapé. Elle ne lui rappelait pas son erreur, elle n'était pas ainsi et il en est heureux. Mais aussi agréable que soit cette discussion, il l'a veut pour lui seul, du matin au soir jusqu'à ce que son âme ne soit plus.

" Va plutôt entrer ta voiture de riche avant qu'elle perd ses pneus. "

Il se pressa pour vite revenir. Les couverts étaient installés, une petite boisson alcoolisée et un jus d'orange qu'il dévisage un instant avant de regarder la noiraude.

" Quoi ? Je t'ai prit un truc que tu peux boire, gamin. "

" C'est juste un an. "

" 12 mois, 365 jours, oui un an de plus que toi. "

Assise en face de lui, les jambes croisées, les yeux rivés sur son plats avec une petites moue, elle est mignonne.
Ils mangent dans le calme.

Bras droit d'un demonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant