Stan ne prit même pas la peine de lui répondre et lui claqua la porte au nez.
— Il ne manque pas d'air ce connard de se pointer ici. Qu'il crève une bonne fois pour toutes, que l'on soit enfin tranquille. dit il en criant
Mais son père insistait et n'arrêtait pas de sonner.
— Ouvre Stanley, il faut que l'on parle.
Stan ouvrit, en grand en lui criant
— Écoute connard, je n'ai rien à te dire. Je t'interdis de m'appeler Stanley, le seul qui en avait le droit est celui qui t'a remplacé en tant que père. Barre-toi une bonne fois pour toutes.
— Ne parle pas sur ce ton à ton associé mon garçon, dit-il en souriant.
— De quoi parles-tu ? On n'est associé en rien du tout.
— Détrompe-toi ! Relis bien ton contrat, il stipule que seule la moitié était à vendre et comme l'autre moitié m'appartient ça fait de moi ton associé à 50 %. Tu n'aurais jamais dû signer sans ton avocat Stanley, c'est la règle numéro un.
— Tu as fait ça Stan ? Mais quand as-tu fait ça ? lui demandai-je.
— La société que j'ai rachetée était en faillite Molly, j'ai bien lu le contrat et jamais, son nom n'avait était mentionné !
— Tu n'as pas bien lu mon garçon, au fait tu sais lire au moins ?
— Toi ta gueule si tu ne veux pas mon poing sur ta face de rat. Jamais ! tu n'entends, je serai associé à toi pour quoique se soit. Tu me donnes envie de gerber.
— J'aime tes mots doux fiston. Comme l'autre conne n'a pas réussi à te faire endosser la paternité de son bâtard, il fallait bien que je rattrape le coup pour avoir de l'argent non.
— Mon amour, j'ai essayé de te le dire avant qu'il n'arrive. Le père du bébé est Nolan. Je l'ai entendu parler d'argent...
— Que tu peux être con mon garçon ! Veux-tu que je t'explique comment foutre en cloque une pouffiasse ? Ah ! non tu sais déjà comment on fait, dit-il en me regardant.
— Répète un peu que je te casse la gueule.
— Arrête Stan, il essaye de te provoquer. Puis, je m'adresse à son père. Il n'a jamais couché avec Sophia, c'est ça ?
— Bravo, ma petite au moins une qui comprend vite.
— Dégage de chez moi sale fils de p........ lui cria Stan
— Tout de suite les grands mots. Parlons sérieusement. Rachète mes parts et je disparais pour toujours. Si tu refuses, je ferai en sorte que la boîte croule et ce sera chômage pour pas mal de familles qui ont de l'espoir depuis ton rachat. Que choisis-tu ?
— Je choisis que tu dégages ta sale gueule de chez moi !
— Tu as jusqu'à demain pour y réfléchir. Cinq millions et je disparais. Bonne soirée mon cher fils, dit-il en s'en allant.
— Putain Molly qu'est-ce que je vais faire ? Me demanda Stan en s'asseyant sur le canapé.
— Première chose, allez voir mon père ! Il te raconte peut-être n'importe quoi !
— Oui, je le pense aussi. C'est un menteur manipulateur, ça se voit sur sa gueule. J'y vais tout de suite, tu m'accompagnes ?
— Oui attend, je prépare Élisabeth.
On déposa la petite à Sarah et allons voir mon père à son bureau. On lui raconta toute l'histoire et à voir sa tête ce n'était pas très bon.
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Laisse-moi t'aider ! Tome 1
Romance«C'est en regardant le ciel que j'ai compris que je n'étais rien; C'est en te regardant que j'ai compris que tu étais tout» Quand Molly et Stan se rencontrent pour la première fois dans les couloirs du lycée, ils se détestent. Pourtant, leur ren...