Nôtre Deuxième Histoire [scarakazu] - En Réécriture - Terminé

Festival

Chapitre 13

Les cours avaient repris. Nous étions complètement fatigué par le week-end énergique que nous venions de passer. Au final ça nous a permis de créer des liens avec des personnes. Ça faisait du bien de voir des duos et même des trio marchés à merveille. Heizou était absent aujourd'hui, alors nôtre quatuor n'as pas pu avoir lieu. On parlait d'école pourtant ça ne me dérangeais pas tant que ça. On les critiquait justement et disait à quel point on avait pas envie d'y aller. C'était marrant jusqu'à ce que je vis Kazuha passer au loin. Il était un peu, désorienté ? Je préviens les deux que je reviens et va rejoindre Kazuha. En route vers lui je croise le regard de Tartaglia avec un sourire qui me déplaît forcément. Je vais finir par le tuer ce gamin. Je n'ai pas fait gaffe devant moi et je finis par le bousculé.

一 Aie... Prononça-t-il

一 Désolé Kazuha j'ai pas fait gaffe. Tu vas bien ?

一 Oui ça va t'inquiète pas pour ça.

一 Je ne parlais pas de la bousculade. Je finis par reprendre mes dires pour qu'il comprenne.

Il semblait un peu étonné mais avait compris

一 Disons que ça me surprend de voir mes amis avec les tiens. Avoue Kazuha.

一 C'était pendant le week-end en forêt.

一 Ah oui, bien sûr.

Certains n'aime pas le changement. J'avais complètement oublié que le bonheur de l'un peu faire le malheur de l'autre.

一 Tu veux qu'on traine ensemble ? Lui ai-je proposer.

一 Scaramouche, à quoi est-ce qu'on joue.

Mon cœur sauta un battement. C'est vrai. J'avais complètement oublié pendant un moment que nous avions eu un passé. Comment ai-je fait pour oublier. Son normalise m'avait complètement éloigné de la réalité. Il me regardait comme un chaton qui venait de perdre sa famille, je reconnais ce regard. J'avais complètement oublié qu'il m'avait trahis. Je finis par le regarder avec des yeux différent. Du mépris.

一 Scaramouche...

Les voix dans ma tête commençais à résonner. Les souvenirs revenais sur face. Je m'éloigne de lui et pars complètement. Il me laissa partir sans me retenir.

_____ _____ _____ _____

一 Scar' dépêche toi on va être en retard !

一 Attend, tu vas trop vite pour moi !

一 Tu n'as cas courir plus vite.

一 Tu le sais très bien, je n'aime pas courir.

Il fini par ralentir la cadence jusqu'à marché. Il me tient la main.

一 Si on le fait ensemble tu auras envie ?

一 Oui.

Il me sourit et on recommence à courir.

C'était le festival. Lui comme moi étions excités à l'idée de voir les feux d'artifices. Nous avions de beaux kimonos. Lui rouge et moi bleu. Nous n'avions pas vu le temps passer quand nous nous amusions aux stand que nous proposait le festival. On devait courir jusqu'au sommet de la pierre levé pour assister au véritable spectacle. Par chance nous étions arrivé avant que ça commence pour nous laisser le temps de prendre nôtre respiration. Le bruit des feux d'artifices attira nôtre attention. Quand on leva la tête on vit des milliers de paillettes disparaître petit à petit. On attend un autre bruit et des paillettes rouge alla dans le ciel. Je le regardais amoureusement et il fit de même après avoir senti mon regard sur lui. On se tourne de façon à ce qu'on soi en face de l'un d'autre tout en pouvant apercevoir le visage de l'autre s'illuminer par les lumières. Je m'approche doucement de lui. Je passe mes bras entre les siens et vient les passer en aux de son dos. Avec les siens il me sers au niveau des épaules. On rapproche progressivement nos lèvres. On les entrouvre et fini par les coller. On ferma nos yeux et ajouta progressivement la langue pour en profiter au max. Après quelques secondes on finit par séparé nos lèvres enflammées. On admira les yeux de l'autre un bon moment pendant que les feux d'artifices continuaient de péter.

一 Je t'aime Scaramouche.

一 Je t'aime aussi, Kazuha.

On se retrouve à nouveau à contempler le spectacle sous nos yeux. Après être rester quinze minutes là haut nous avions finit par descendre cette fois ci en marchant mais toujours en se tenant la main. Il souriait comme un imbécile heureux. Mon imbécile heureux. J'étais complètement épuisé, il était tard.

一 Tu baille beaucoup depuis quelques minutes.

一 Je suis fatigué...

一 Tu veux qu'on rentre ?

一 J'ai pas envie que nôtre soirée se termine Kazuha. Je veux rester avec toi.

Il me souris et embrasse l'une de mes joues.

一 Viens on rentre.

J'obéis sans broncher et on rentre à la maison. À vrai dire c'est chez moi mais on avait tellement l'habitude de rentrer ensemble que c'est devenu nôtre chez nous. Nous étions enfin rentré. J'étais déjà en train de monter les escaliers pendant qu'il prenait le temps de fermer la porte à clef. J'entre dans ma chambre et me change. J'avais la flemme de passer à la douche puis je ne sentais pas. Je me suis assis sur mon lit et Kazuha me rejoins cinq minutes plus tard. Il s'allonge sur le lit en plaçant ses bras derrière mon dos et pose sa tête sur mon ventre.

一 Qu'est ce qu'il y a ? Lui demandais je.

一 Rien pourquoi ?

一 Non pour rien.

J'allume mon tel et traîne sur les réseaux jusqu'à ce que Kazuha attire mon attention. Il se débat avec mon t-shirt et le relève légèrement jusqu'à mon nombril. Il embrasse le bas de mon ventre me faisant frémir.

一 Kazuha ?

一 T'aime pas ?

一 Évidemment que si.

Il continue à me faire des baisers jusqu'à qu'un léger gémissement franchise mes lèvres. Il s'arrête d'un coup. D'un coup sec m'allonge complètement faisant remonté mon t-shirt faisant apparaître mes tétons. Je le regarde d'un air choqué et interrogateur. Il tient mes hanches des deux côtés et appuie sur ma peau avec ses pouces. Je le laisse faire. De son index il glisse sur ma poitrine au bas de mon ventre. Je rougis de plus belle.

一 Kazuha...

一 Oui ?

Je le regarde un long moment.

一 T'es pressé à ce point ?

一 Loin de là.

一 Kazuha tu n'as pas l'air dans ton assiette.

一 Je t'aime Scara.

一 Moi aussi Kazuha.

Pensant que ce n'était rien j'oublie. Il remet correctement mon t-shirt et s'allonge à côté de moi. Nous nous endormons dans les bras de l'autre pour la dernière fois. Le lendemain je me réveilla sans Kazuha à mes côtés. Fouillant toute la maison mais ne le voyant pas non plus je décide de lui envoyer un message. Puis un jour plus tard j'ai appris qu'il était parti pour Fontaine avec ses parents. Il ne m'en avais même pas parlé.

_______________

1138 mots