Nôtre Deuxième Histoire [scarakazu] - En Réécriture - Terminé

Chaleur

Chapitre 6

Le week-end est passé plus vite que je ne l'aurais imaginé. Beaucoup on essayé de m'appeler mais je ne décrochais pas. Pendant deux jours je ne me suis pas levé sauf pour allez aux toilettes de temps à autre. Je n'y allais que rarement à cause de mon alimentation plus qu'inexistante. Je n'avais pas beaucoup bu d'eau non plus. Mon bras droit me procurait des frissonnement étrange à cause des cicatrices. Les rideaux tirés. J'ai même oublié de donner à manger au chat une journée entière. J'avais dormi presque pendant toute une journée. J'avais tiré les rideaux de partout. Une lumière trop brillante ne faisait son apparition. Mon chat à du être un peu chamboulé par ça. Mais puisqu'elle se souvenait que c'était mes deux jours de repos on dorma ensemble pendant toute la journée et toute la nuit. C'est moi qui l'est rendu malheureuse ? J'en suis désolé.

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Arrivé proche du lycée je m'attendais déjà à avoir plein de questions sur mon dos. Je me préparais psychologiquement mais rien d'y penser j'avais envie de pleurer.
Entré dans le lycée je vu le groupe de personnes avec qui je traîne et Nahida. Ils me voient et quelques uns venait à ma rencontre. Aether et Nahida.

一 Où étais-tu Scaramouche, on n'a pas arrêté de t'appeler !

一C'est vrai ça. Tu étais parti un week-end où pour ne pas répondre au téléphone ? dit Aether.

一 C'est ça, j'ai eu le temps de partir à Fontaine en faisant allé retour sachant que le trajet pour y aller dure une journée entière ? je le dis en toute ironie pour ne pas arranger les choses.

一 On veut savoir pourquoi tu ne répondais.

Il commençait à me taper sûr les nerfs.

一 Tu vas me lâcher oui ? Toi et moi on est pas ami. Alors pourquoi devrais-je me justifier.

Tout en disant ça je parti sans attendre leurs réponses. Les larmes ont finit par couler mais je les essuies rapidement. Mes cernes doivent être plus visible maintenant. Et mes yeux doivent être rouge. Je marche sans savoir où je vais. Je m'en fiche. Je veux qu'on me laisse tranquille. Je passe dans un couloir que personne n'utilise mais j'aperçois quelqu'un. Parterre, les jambes plier. Ses bras était autour de celles ci et sa tête sûr ses genoux. Je m'approche sans faire de bruit. Je le reconnaissait.

一 Kazuha.

Avec surprise il me regarda tout bouleversé. Il pleurait énormément. Aucun mot ne s'échangeait. On voyait dans les yeux de l'autre que ça n'allait pas. Il avait remarqué mes légers yeux gonflés. Et moi je n'avais qu'à regarder ce qui dégoulinait de son visage. Il finit par détourner le regard en séchant ses larmes et tourne sa tête à l'opposé de moi. Il ne comptait pas parler et ça tombait bien. Je marche pour être plus proche de lui et m'assois à ses côtés avec quelques centimètres d'écarts. Je le regarde de nouveau. Ses oreilles étaient rouges. Je descends le regard au sol. Sa main droite s'y trouvait. La même sensation me prit. Mes pensées n'arrêtaient pas se battre et pourtant. Je rapproche tout doucement ma main de la sienne. Je la frôle plusieurs fois avant de complètement se toucher. Il semblait avoir reagi du pousse. J'écarte ses doigts et insére les miens entre eux. Je serre sa main. Il renifla avant de la serré en retour. Ça me fit frissonner. Enfin un endroit paisible avec quelqu'un sans ressentir cette solitude. J'étais tout simplement dans la même condition que lui.

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La cloche avait fini par sonner et nous étions partis chacun de notre côté. Ça fait trente minutes que le cours à commencer. Je n'ai pas réussi à me concentrer. Je pouvais encore sentir la chaleur de ses doigts. Mon cœur battait un peu plus fort à chaque fois que je pensais à lui. Je me demande pourquoi il pleurait. Il avait l'air de tellement souffrir. Le voir dans cet état me ronge par dessus tout. Il m'avait caressé la paume de la main. Quand je repense à tout ça, je pense que je rougis. J'avais au moins réussi à le faire arrêter de pleurer.