Chapitre 3
Je me réveille en sursaut après que mon chat m'est réveillé par ses miaulement répétitifs. Quelle heure était-il ? Pourquoi je n'ai pas entendu mon réveil sonné ? Évidemment, j'ai dormi dans le salon. J'allume lentement mon téléphone. Et merde, il est 10h passer ! Comment j'ai fais pour dormir autant. Maintenant je serai décalé pendant au moins deux jours. Il faut que je me grouille bordel. En me levant je ressens une légère douleur au cou. Je crois que j'ai un torticolis. Note à moi même, ne plus dormir sur le canapé. Mon bras gauche idem, il me fait mal. J'ignore les symptômes et commence à me préparer en vitesse. Douche, brossage de dents, affaires et nourrir le chat. Je prends quand même le temps de lui souhaité joyeuse appétit et de partir en sprintant. Et merde me dit pas qu'il commence à pleuvoir. Faut que j'aille plus vite. Je serai à l'heure pour le cours de 11h. Mais pour ça il faut que je trace.Je finis par voir le lycée et cours de plus en plus vite, je commence à avoir un point de côté. Je cours dans les couloirs en croisant quelques adultes me disant d'arrêter de courir. Bien sûr je ne les écoutais pas. La sonnerie retenti avant que j'us le temps d'ouvrir la salle de classe. Je pris du temps à reprendre ma respiration et la prof m'accepta quand même. Je n'avais pas pris le temps de regarder mais tout le monde avait les yeux rivés sur moi. Qu'est ce qu'ils avaient à tous mater. Ça me mis dans une angoisse incontournable. Je n'arrivais même pas à marcher normalement pour m'asseoir à ma place. Ma boule au ventre ne veut pas partir. Pourquoi suis je encore stressé et épuisé. Le stresse qui me donne cette impression d'avoir couru des milliards de kilomètres ? Je pense bien. Bordel je commence à sentir une douleur dans tout le corps. Mon ventre n'a pas aimé que je cours de si beau matin. J'ai attendu une vingtaine de minutes avant de lever la main pour sortir sentant que mon corps n'allait pas tenir.
Après être sorti de cours je marcha assez rapidement en direction des toilettes je sentais que j'allais dégobiller. Plus j'étais proche des toilettes plus mon envie s'amplifie. Quelques mètres à côté je finis par courir vers les toilettes, me précipite dans une cabine pour vomir mes tripes. Ça m'arrive assez souvent ces temps ci quand je ne mange pas pendant des jours. C'est le fait de courir qui a activé ça. Je tousse un moment après avoir vidé le quart de se qu'il devait sortir. Sans m'en rendre compte quelqu'un était rentré dans les toilettes. Elle m'avait certainement entendue.
一 Est-ce que tu vas bien ?
一 À ton avis génie. J'ai l'air d'aller bien ? Fait moi plaisir et fais comme si tu ne m'avais pas vu.
Quelques secondes de silence après ma réplique. Était-il parti ? Je sais pas.
一 Scaramouche.
Je me retourne pour voir la personne qui m'appelait par mon prénom entier. Mes yeux s'écarquillent en le voyant là, devant moi. Cette homme à la chevelure blanche qui possèdait une mèche rouge. Sa peau d'une couleur pâle de douceur indescriptible. Ses yeux me regardaient avec tellement d'émotions mélangés. Ils sont toujours aussi magnifique qu'avant. D'une couleur vif près à chatouiller l'âme la plus sombre et également la mienne. Je n'avais pas rêvé. Je l'avais bel et bien vu ce jour là. Ce n'était pas le fruit de mon imagination. Plusieurs minutes s'écoulairent sans que quelqu'un ne prit la parole. Il fini donc par faire le premier pas.
一 Tu veux que j'appelle un surveillant ? Ils pourront peut-être-
一 Non. Je ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase que je le coupa.
一 Tu ne vas quand même pas retourner en cours comme ça.
一 Et pourquoi pas ?
On se regardera encore dans les yeux. J'avais envie de chialer. Pourquoi il était ici. Et surtout pourquoi est-ce toujours lui qui me vois dans de telles conditions ! Je finis par me lever et quitte la cabine avant qu'il me retienne par le bras gauche. Je ne pouvais pas ne pas échappé un gémissement de douleur.
一 Scaramouche qu'est ce que t'as ?
一 Ce n'est pas tes affaires. À ce que je sache nous n'avons plus rien à voir tout les deux. je retire son emprise de moi en même temps.
一 Ne fait pas ça, tu essai encore et comme toujours de repousser tes limites complètement stupides.
Ces paroles me font frissonner d'avance. Il m'énerve putain.
一 Bordel mais Kazuha occupe toi de tes affaires. Je ne t'ai pas demandé ton aide et c'est pas aujourd'hui que je le ferai. Alors laisse moi te dire une chose... je me suis approché de lui d'un pas.
一 Ne m'adresse plus la parole compris.Ses sourcils semblaient légèrement être tendu par mes paroles. Je ne lui ai pas laisser une seconde plus pour me répondre que je partis en vitesse.
Quelle journée de merde sérieux.
Je suis sortie de l'établissement pour aller dans la cours et aller à l'endroit de la source d'eau. Je l'ouvre et commence par jouer avec l'eau en bouche pour enlèver le goût et un peu l'odeur du vomis. Je n'avais plus la force d'aller en cours après ça mais je devais prendre mon sac. Alors j'ai attendu vingt minutes que la cloche sonne pour revenir à l'intérieur, aller en cours pour prendre mon sac et repartir de là vite fait. En chemin j'étais complètement détruit pour deux raisons. La première le vomis et la deuxième Kazuha. Pourquoi m'a-t-il regarder avec ces yeux là. Et pourquoi est-il ici. Il était censé être parti depuis longtemps. Mes mains commençaient à se pincer entre elles. Pourquoi Kazuha.
Sans m'en rendre compte je commençait à pleurer. J'essaie tant bien que mal d'arrêter mais ça remontaient et recoulaient sans le vouloir. En rentrant chez moi j'étais complètement ailleurs fasse à la fatigue d'avoir pleurer et vomi le en moins de trois heures. Je monte les escaliers et va dans ma chambre . Je tombe littéralement sur mon lit et m'endors instantanément._____________
1032 mots
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Nôtre Deuxième Histoire [scarakazu] - En Réécriture - Terminé
Romance« Renouer avec quelqu'un que nous aimons n'est pas si grave. Alors pourquoi ne pas retenter ? »