Alone (Lockzie)

Chapitre 17

T : Bref, faut absolument qu'on aide ces pauvres gens !

L : Oui ! Il faut en parler à Carl !

? : Me parler de quoi ?

PDV LUCAS

On se retourna tous, surpris, vers l'entrée de la chaumière.

Ca : Alors ?

L : Euh.....c'est une longue histoire...

Ca : J'ai tout mon temps !

Je lui raconta alors ce que Tessa avait volé et cru comprendre et donc ce que nous avions cru comprendre aussi.

Ca : Eh bien....il est vrai que ça tiens totalement la route.... Et ils attendent combien de gens ?

L : Euh.....

T : 1000 personnes venues tout droit d'Espagne !

Ca : Ah oui.....1000 personnes.....

A : Il faut absolument les aider !

Ca : Je vais en parler aux survivants, mais vous comprenez que je ne peux pas les obliger à aller secourir ces gens ?

C : Donc tu ne prendras que les volontaires ?

Ca : En gros, oui.

C : Mmh....

A : Si il n'y a vraiment personne qui ne se désigne, ils sont vraiment tous sans cœur !

B : Ouai ce sont des lâches en gros !

Ca : Ne dites pas ça ! Je suis sûr que des gens voudrons bien !

○○○○○○○○○

10 personnes.....pour l'instant !

Enfin c'est ce que Carl a dit, car je cite "les survivants on besoin de temps pour réfléchir"

Pfff.....

Du temps ? Mais on a pas le temps !

Il faut absolument que l'on parte dans les prochains jours ! Le document disait qu'ils les "livrerai" entre aujourd'hui et la semaine prochaine ! Ce qui veut dire qu'ils sont peut être déjà "livrés" !

Je suis tellement énervé et stressé pour ces gens que je commence à faire les 100 pas dans la pièce.

Tout d'abord pour me calmer, mais aussi pour réfléchir à un moyen dembarquer de siens avec nous.....et trouver un plan pour aller libérer ces pauvres gens, au passage....

B : Lucas ?....

L : Quoi ?!

B : Hum....tu sembles à 2 doigts d'exploser....

L : Pas du tout !

Je me cogna alors la jambe dans une table.

L : Raaaaa !!! Putain de table de merde ! Tu vas voir sale pute toi j'vais t'encul....

B : Qu'est ce que je disais !

L : Quoi ? Tu étais complice ? Toi aussi tu veux que j'encu.....

Je me coupa, me rendant compte du ridicule de la scène....

L : Désolé....dis-je les joues légèrement rouges.

B : Aller viens là ! Me dit-il en tapotant la place sur le canapé à côté de lui.

Je m'asseya en soupirant.

B : Je sais que t'es stressé, mais faut pas te mettre dans des états pareils....

Il glissa son bras sur mes épaules et je tourna la tête vers la sienne, faisant rencontrer nos deux yeux.

Je laissai glisser ma tête sur son épaule, les paupières lourdes.